Le Centre national du livre (CNL) joue un rôle central dans la politique du livre en France, visant à promouvoir la lecture, en particulier chez les jeunes, et à soutenir la diversité éditoriale. Historiquement, la littérature a été un pilier de la culture française, protégée par des lois comme celle sur la liberté d'expression de 1789 et la protection du droit d'auteur en 1791.

Des "Histoires vraies" de Pierre Bellemare à "La Consolation" de Flavie Flament, des biographies de Laure Adler aux romans de Xavier de Moulins, publier des livres écrits par des vedettes de la télé est une pratique éditoriale aussi vieille que l’avènement du petit écran, et qui n’est pas près de s’arrêter. Au-delà des coups médiatiques et de la manne commerciale, il y a aussi (parfois) de bons livres. Mais comment distinguer les ouvrages au réel potentiel littéraire des simples produits marketing ? Sommaire. Les dossiers de l'écran.

Collaborateur au début des années 1990 d'André Schiffrin à "The New Press", à New York, Jean Poderos devient en 1996 secrétaire général de "Beaux Arts magazine", puis rédacteur en chef de la revue d'art "Dada" et directeur de collection des albums publiés par la revue. Autant d'expériences qui seront déterminantes dans la ligne éditoriale des Editions courtes et longues qu'il crée en 2005 et dirige depuis. Retour sur les 20 ans d'une maison où l'image et l'art tiennent des places essentielles.

À l'approche de ses 40 ans de carrière, que l'on célébrera en 2026, Stanislas ne ralentit pas le rythme. Son nouvel album "La Fin du monde" publié chez L'Association est déjà disponible, un livre illustré autour des voitures anciennes paraîtra bientôt aux éditions Les Rêveurs, et il est l'invité d'honneur des Rencontres Chaland en octobre. L'occasion d'un entretien vérité, sans langue de bois.

A l'heure de l'IA et des réseaux sociaux, les guides touristiques doivent se réinventer. Contenus thématisés, graphismes soignés, expériences interactives... les recettes sont nombreuses pour (re)donner le goût du voyage.

Quand Laetitia Bianchi fonde en 2021 les éditions Mexico, elle fait le choix d'une confection de livres très loin de la production standardisée, dans une démarche artisanale et exigeante, soignée jusqu'à la moindre apostrophe. Celle qui dit travailler "à la main sur ordinateur" révèle les curiosités rencontrées tout au long de sa vie avec pour mission de transmettre des oeuvres oubliées ou méconnues. Une responsabilité autant qu'une nécessité !

Alors que les études successives confirment l'importance de lire des histoires aux enfants et de les familiariser avec les livres dès leur plus jeune âge, ce dossier fait le point sur l'offre éditoriale en direction des 0-3 ans et sur la médiation envers le public des tout-petits.

La 21e édition du Thessaloniki International Book Fair (TBF) s’est tenue du 8 au 11 mai à Thessalonique, deuxième ville de Grèce, et a mis à l’honneur l’Italie. L’événement, d’une durée de quatre jours, a abordé les thèmes de la créativité humaine et de l’intelligence artificielle, tout en renforçant les échanges entre la Grèce, les Balkans et les pays méditerranéens. Thessalonique, fondée au IVe siècle av.

Marc Boutet, fondateur de De Marque en 1990, a transformé un emploi d’été en une multinationale de 80 collaborateurs générant 23 millions d’euros de chiffre d’affaires. L’entreprise, initialement motivée par le manque de contenus numériques en français, s’est développée autour de l’innovation dans l’édition numérique, avec une forte orientation vers l’international et la francophonie.

Le segment young adult, longtemps considéré comme un eldorado de l’édition, connaît un ralentissement, notamment pour les titres les plus commerciaux. Les libraires et éditeurs constatent une saturation du marché, avec une offre pléthorique de romans aux couvertures similaires, ce qui rend difficile la mise en avant de titres originaux. Le marché est devenu très concurrentiel, avec une arrivée massive de nouveaux acteurs et des enchères de plus en plus élevées pour les droits de livres étrangers.

Fondée en 1996 par Sylvie Crossman et Jean-Pierre Barou, la maison d’édition Indigène, initialement installée à Montpellier, visait à donner de la visibilité aux savoirs des « peuples issus de cultures non industrielles ». Les débuts sont prometteurs, avec des catalogues d’expositions et des textes de sciences humaines se vendant autour de 1 500 exemplaires chacun. Le tournant majeur survient en 2010 avec la publication d’Indignez-vous ! de Stéphane Hessel, un texte de 32 pages vendu à trois euros.

Les prête-plumes, aussi appelés ghostwriters, sont les coauteurs de nombreux best-sellers et exercent un métier exigeant, jugé à la fois amusant, excitant et intense par ceux qui le pratiquent. Leur rôle consiste à mettre en forme le récit d’une personne qui n’a pas les outils pour s’exprimer, en exploitant différentes « voix » et en faisant preuve de générosité, d’empathie, de rapidité et d’une grande capacité d’écoute. Beaucoup viennent du journalisme, de la rédaction publicitaire ou de la littérature, et apprennent sur le tas les spécificités du métier.