Etablissant les liens entre l'agriculture biologique, l'éducation alternative et le management, l'auteure, ingénieure agronome, s'appuie sur une quinzaine de témoignages pour proposer un mode de gouvernance respectueux du vivant, centrée sur la responsabilité individuelle et la bienveillance. ©Electre 2019

L'auteur, un des pionniers de l'agriculture biologique, dénonce les excès d'une agriculture devenue folle. Il traite des grands scandales de la condition animale dans les élevages industriels, des terres cultivées totalement privées de leur substance fertile. Il plaide pour une agriculture indissociable des questions d'environnement, d'alimentation et de santé. Electre 2015

I was born in 1971, and grew up in central New York. I graduated from Harvard in 1994, then moved to New York City, where I worked at a literary agency, taught creative writing, and freelanced for magazines and travel guides. In 2002, I interviewed a wingnut farmer named Mark, and took more than a professional interest in both him and his vocation. We founded Essex Farm together in 2004 – the world’s first full-diet CSA, as far as we know – and I’ve been professionally dirty ever since. Mark and I have two daughters, and I have three great jobs: mother, farmer, writer. I stink at returning email. Please contact Simon & Schuster Speakers Bureau for information on talks and appearances. Since the publication of The Dirty Life, I’ve written for O Magazine about what it’s like to change your life completely; for Vogue on physical work, and for Gourmet Live on all sorts of farm and food related subjects (The Pigs Are Alright, A Corny Story, Tales of Terroir, Three Things Every Ethical Eater Needs To Know). Food & Wine featured us here, the Burlington Free Press here, and for the francophones out there, Alix Girod de l'Ain Laffont wrote about us here, in French Elle.

Toutes les techniques nécessaires aux agriculteurs, aux jardiniers et aux maraîchers pour élever les micro-organismes indispensables aux sols et aux cultures.

« Dimanche 20 février. Enfant, je me demandais pourquoi le mot temps désignait à la fois l'écoulement des jours et la météo. Depuis que je suis paysan, je sais. Pour la même raison que le mot culture désigne tout à la fois le travail de la terre et notre rapport au monde. » Chaque soir, pendant un an, un paysan témoigne en quelques lignes de son activité du jour. Ses textes nous donnent accès à l'intimité rugueuse d'un métier fondamental devenu méconnu. On y trouve, entre autres, des bigaradiers, du désherbage, des souvenirs d'enfance, des oiseaux, des coups de gueules, des alambics… On y découvre de l'intérieur, dans l'oeil d'un naturaliste, des champs, une filière, un pays. Ce journal rend compte d'un engagement corps et âme dans une vocation. Il est aussi une ode à la matière – naturelle, transformée, vivante, spirituelle.

Réflexions sur les nouveaux modèles agricoles. Face aux baisses de production liées aux événements climatiques extrêmes et à une concurrence internationale qui tend à appauvrir les agriculteurs, l'auteur souligne l'importance de poser la question des rendements. Il examine deux approches en apparence irréconciliables que sont la transition agroécologique et l'intensification durable.