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Marketing stratégique

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A la peine depuis quelques années, le marché français du rasage homme a été un peu plus mis en difficultés par la crise de Covid-19. Sur l'année 2020, les rasoirs reculent de 5,9 % à 284,6 millions d'euros, les produits moussants à raser de 8,9 % à 55,91 millions d'euros, les produits avant et après-rasage de 9,3 % à 26,97 millions d'euros. En revanche, les soins de la barbe ont résisté, +5 %, prouvant définitivement que la barbe est à la mode.
Numéros de page :
pp.56, 58

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Comme de nombreux produits alimentaires, le jambon a profité de la crise de Covid-19 pour croître. Le marché du jambon cuit progresse de 8,6 % à 1,9 milliard d'euros sur l'année 2020, celui du jambon cru de 5,3 % à 361 millions d'euros. Si les confinements ont joué en sa faveur, le secteur s'appuie aussi sur une valorisation continue de ses produits afin de séduire plus de clients. Le jambon sans antibiotiques ou sans nitrites rencontre le succès et séduit les consommateurs à la recherche de références plus saines.
Numéros de page :
pp.60-62

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Moins cher, meilleur pour l'environnement, le commerce de seconde main conquiert les Français en 2021. Près d'un achat non alimentaire sur dix en ligne concernait un article d'occasion en 2020, contre 3 % en 2017. La loi lutte aussi contre le gaspillage puisqu'à partir de 2022, la destruction des invendus non alimentaires sera interdite. Pour les enseignes françaises, tous les signes semblent ainsi réunis pour accélérer sur l'occasion et rivaliser avec les spécialistes que sont Le Bon Coin ou Vinted.
Numéros de page :
pp.6-11

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Face à des enseignes discount de plus en plus menaçantes, notamment Action, Carrefour passe à l'action. Le distributeur français a lancé à l'été 2020 dans plusieurs de ses hypermarchés "Le coin des bonnes affaires", un nouveau rayon centré sur les petits prix, les promotions et les achats plaisir. L'offre est variée, regroupant aussi bien des produits alimentaires, d'hygiène ou de loisirs, et émanant parfois de grandes marques, dont les références proviennent de l'étranger. 30 % de l'assortiment est changé tous les 15 jours pour que le rayon reste dynamique.
Numéros de page :
pp.14-15

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Le marché du fromage se porte très bien en France. Il a enregistré une croissance de 8,3 % en 2020, à 7,2 milliards d'euros. Les confinements ont joué en sa faveur, mais le secteur s'affichait déjà en progression lors des exercices précédents. Pour continuer sur cette lancée, les industriels misent sur le merchandising afin de clarifier l'offre et de se mettre en avant dans les rayons. Savencia opte pour une présentation par usage, Lactalis par grands pôles (râpés, bio et allégés, à déguster...).
Numéros de page :
pp.32-34, 36, 38-39

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Ca ne pourra pas être pire qu'en 2020 : voilà ce que se disent les chocolatiers à l'approche de Pâques 2021, après une chute des ventes de 27 %, à 214 millions d'euros, lors de l'exercice précédent en raison de la crise de Covid-19. Pour se relancer cette année, les marques misent surtout sur les produits rassurants, dont les classiques et les références pour enfants, qui ont déjà fait leur preuve par le passé.
Numéros de page :
pp.44, 46

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La frontière entre l’art et la mode est ténue. De plus en plus de marques tentent de faire de leurs magasins des lieux d’expériences et de culture. En s’inspirant des codes des galeries, elles donnent un autre statut à leurs collections et établissent un dialogue différent avec leurs clients.
Numéros de page :
pp.142-145

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Bulletin : L'Express 3634
Ruraux, urbains? Aisés, populaires ? Jeunes, vieux ? Amazon, on en parle beaucoup, sans connaître grand-chose de ses clients. Avec le sondage exclusif réalisé par l'Ifop pour "L'Express", plongée dans un monde où la consommation est reine et l'attente, intolérable. Sommaire. Tous accros à Amazon. L'atypique nébuleuse des anti-Amazon. « Avec la distribution alimentaire, l'idée est de rendre les clients captifs ». AWS, l'atout caché. Amazon et moi, par Alain Damasio : je t'aime, moi non plus.
Numéros de page :
pp.18-24

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Après une année 2020 très satisfaisante, +7,5 % à 6,89 milliards d'euros, le marché français de l'entretien se projette dans l'avenir. La reformulation continue d'accaparer l'attention, avec la nécessité de mettre au point des produits plus naturels, contenant moins de substances controversées. Sur cet aspect, les marques traditionnelles essaient de s'adapter rapidement afin de ne pas être dépassées par les spécialistes de cette approche plus écologique, comme Biovie, Rainett ou Briochin.
Numéros de page :
pp.24-26, 28-30

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En recul de seulement 0,5 %, à 595,6 millions d'euros entre juillet et septembre 2020, le marché des fournitures scolaires semble avoir bien résisté à la crise de Covid-19. Toutefois, les résultats s'avèrent très divers selon les catégories. Si les adhésifs et colles se sont très bien comportés, +4 % à 48 millions d'euros, le classement a souffert, -7 % à 115 millions d'euros. De manière globale, la clientèle opte de plus en plus pour le "consommer moins mais mieux", et n'hésite pas à réutiliser certaines fournitures d'une année sur l'autre.
Numéros de page :
pp.32-34

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La pâtisserie industrielle n'a pas réussi à tirer son épingle du jeu en 2020. Le marché recule de 0,5 %, à 2,4 milliards d'euros, plombé par les performances en berne des pâtisseries individuelles, à partager, et des galettes et couronnes. Les leaders Pasquier, Harrys et La Fournée enregistrent tous des baisses de vente. Si le bio continue de performer, il n'est toutefois plus suffisant pour se démarquer. Les marques doivent pousser leur engagement un cran plus loin et valoriser le commerce équitable, les oeufs de plein air ou les références vegans.
Numéros de page :
pp.36, 38, 40

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Belle pêche pour le rayon marée libre-service en 2020. Il finit l'année à 900 millions d'euros de CA, en hausse de 16 %, et 60 000 tonnes vendues, en progression de 14 %. Déjà plébiscité lors des exercices précédents, le marché a profité de la crise sanitaire et de la fermeture des rayons traditionnels pour améliorer un peu plus ses performances. Les trois catégories phares du secteur (fruits de mer, poissons préemballés, plats cuisinés) affichent tous des performances très satisfaisantes.
Numéros de page :
pp.42, 44