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Composition (musique)

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A l'origine, c'est une commande de Witold Rowicki : une oeuvre sans prétention, « dans le genre de la "Petite Suite" »,destinée à mettre en valeur le Philharmonique de Varsovie dont il vient de prendre les rênes. Le résultat sera bien différent : une partition très aboutie et très virtuose, élaborée sur quatre années (1950-1954) et avoisinant les trente minutes. La production orchestrale de Lutoslawski se réduit alors essentiellement à la Symphonie n° 1 (1941- 1947), marquée par le néoclassicisme parisien de l'entre-deux-guerres.
Numéros de page :
pp.32-35

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Bulletin : Diapason 701
Lorsqu'il entreprend, fin juin 1788, ses trois dernières symphonies, exilé dans un faubourg de Vienne, Mozart a perdu ses soutiens de l'aristocratie et ses finances sont mal en point Sa puissance créatrice, elle, n'a jamais été aussi exultante : six semaines seulement s'écoulent entre l'entame de la "39e" et l'achèvement de la "41e", écrite en seize jours. Entre-temps, Theresia, quatrième enfant du couple Mozart, est morte à l'âge de six mois.
Numéros de page :
pp.44-47

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Bulletin : Diapason 702
"Cette symphonie témoigne d'une volonté énergique, d'une pensée musicale logique, d'une grandeur de facultés architectoniques et d'une maîtrise technique telles que n'en possède aucun autre compositeur vivant ", relève le critique Eduard Hanslick après la première viennoise. Esquissée dès l'époque du Concerto pour piano n. 1 (1854-1858), la "Symphonie n. 1 en ut mineur" est achevée durant l'été 1876 lors d'un long séjour dans l'île de Rügen, en mer Baltique.
Numéros de page :
pp.42-46

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Bulletin : Diapason 703
Mort il y a tout juste cinq siècles, il fut un des premiers génies de la musique occidentale. Si sa biographie reste entourée de mystère, Josquin Desprez nous a laissé une oeuvre foisonnante qui, par-delà les époques, n'a rien perdu de sa puissance visionnaire.
Numéros de page :
pp.34-36

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Bulletin : Diapason 703
C'est le 4 août 1933 que "Le Ménestrel", sous la plume de Jean Chantavoine, révèle un fonds Bizet déposé au Conservatoire de Paris par Reynaldo Hahn et provenant de la veuve du compositeur, Geneviève Straus. Outre des partitions lyriques plus ou moins achevées et connues ("Ivan IV", "Don Rodrigue"...), ce legs comprend une Symphonie n° 1 de 1855. Sachant le peu d'intérêt que lui portait son auteur, on la croyait perdue ou détruite. Chantavoine, lui, en fait grand cas et en livre aussitôt une analyse précise. Tumulte dans le landerneau musical.
Numéros de page :
pp.38-41

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Bulletin : Diapason 704
Compositeur, chef et pédagogue de génie, maillon essentiel entre le romantisme et la Seconde Ecole de Vienne, Alexander von Zemlinsky marche dans l'ombre de Mahler, qu'il adule, et de Schonberg, dont il refuse la modernité atonale. Il naissait il y a cent cinquante ans : trop tard ?
Numéros de page :
pp.44-47

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Bulletin : Diapason 704
La Mort surprend parfois l'artiste en plein travail
Numéros de page :
pp.52-53

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Bulletin : Diapason 705
Enfant prodige et créateur de génie, ami de Liszt ou de Bizet, contemporain de Stravinsky et de Schonberg, Camille Saint-Saëns fut à la fois l'acteur et le témoin éclairé des révolutions artistiques survenues au tournant des XIXe et XXe siècles. Cent ans tout juste après sa mort, croquons le portrait de ce personnage aussi fantasque qu'érudit, et redécouvrons les pépites parfois méconnues que recèle son catalogue, riche de quelque six cents oeuvres.
Numéros de page :
pp.22-32

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Bulletin : Diapason 705
Dans les églises d'Orient, les vigiles nocturnes précèdent la divine liturgie. Dans le catalogue de Serge Rachmaninov, la composition de "Vêpres" (1915) suit, en revanche, celle de la Liturgie de saint Jean Chrysostome (1910). C'est Stepan Smolenski, auprès de qui il étudia les modes anciens à l'Institut synodal de Moscou en 1890-1891, qui lui souffla l'idée de mettre en musique la célébration eucharistique de rite byzantin.
Numéros de page :
pp.40-43

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Bulletin : Diapason 706
En 1827, Schubert n'est pas seul, il a des amis. Schubert n'est pas obscur, sa notoriété est grande à Vienne. Schubert n'est pas pauvre, il vit correctement de son art. Mais Schubert est malade. Atteint de syphilis, il sait que ses forces l'abandonnent. Il ne lui reste de fait qu'un an à vivre. Pour lui, voici venu le temps de l'ultime floraison.
Numéros de page :
pp.46-49

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Bulletin : Diapason 707
Le compositeur Olivier Greif nota dans son "Journal" :« Schubert est né et mort à Vienne, qu'il n'a pratiquement jamais quittée. Certains s'en étonnent. Mais, tel Kant à Königsberg, il aurait très bien pu ne point sortir de sa rue. On n'a pas besoin du monde, lorsqu'on en est le centre. » Le temps d'une nouvelle « Folle Journée », ce centre se déplacera à Nantes, étape décidément privilégiée sur les chemins de l'émotion schubertienne.
Numéros de page :
pp.20-29

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Bulletin : Diapason 707
Composée et créée à Londres en 1795 par Joseph Haydn, la Symphonie 103 est à l'honneur de l'oeuvre du mois dans "Classica". La pièce est replacée dans son contexte historique, fait l'objet d'analyses sur ses interprétations. Une discographie comparée complète le tout.
Numéros de page :
pp.34-37