Elles ont récemment fait l'actualité, suite au retrait de l'iPhone 12 demandé par l'ANFR. L'organisme public a pointé le niveau des ondes électromagnétiques émis par ce modèle d'Apple. Pour autant, aucune raison de s'inquiéter, (r)assurent les spécialistes.

La fonte musculaire qui marque la vieillesse est restée longtemps un phénomène assez obscur. Désormais, on comprend mieux ce qui se passe. On a même identifié les principales coupables : les mitochondries !

Pensée ralentie, troubles de la mémoire, concentration vacillante : après une chimiothérapie, le cerveau est parfois comme dans un brouillard. On commence à comprendre les mécanismes en jeu.

Sautes d’humeur et bouffées de chaleur : les signes les plus courants de la ménopause sont bien connus. Mais on parle moins des symptômes cognitif qui peuvent se manifester : troubles de mémoire et de la concentration, difficulté à trouver ses mots, sensation d’être dans un « brouillard cérébral »... Ils sont dus aux changements hormonaux qui accompagnent la ménopause et qui impactent le fonctionnement des neurones. Il est alors essentiel de comprendre ces modifications pour s’adapter, communiquer avec son entourage, envisager les traitements les plus efficaces...

L'ère des soupçons est révolue depuis longtemps. Le nom du coupable est connu de tous : le sucre.

On mangeait, en France, quarante fois moins de sucre il y a deux siècles qu’aujourd’hui. Lorsque les procédés industriels ont permis d’extraire le saccharose de la betterave, le « tsunami blanc » a déferlé sur le monde, plus massivement encore à partir de la seconde moitié du XXe siècle. Ce furent alors les débuts de la sédentarité, de l’obésité, du diabète. À présent, le sucre est partout.

Lorsque notre cerveau bouillonne et qu’il devient difficile de se concentrer, c’est le moment de s’arrêter. Mais pas n’importe comment. Quelques règles essentielles aident à faire de ce moment une vraie réussite.

La méditation avancée, forme la plus poussée des pratiques méditatives, se donne en autres objectifs de transformer en profondeur notre rapport au monde et d’accéder à des états de bien-être insoupçonnés.

Pensée ralentie, troubles de la mémoire, concentration vacillante: après une chimiothérapie, le cerveau est parfois comme embrumé. Pour les patients, l'enjeu va être de dissiper ce brouillard cérébral pour retrouver une vie normale.

Selon une étude récente, des injections d'hormone de croissance réalisées il y a plusieurs décennies pourraient avoir favorisé l'apparition.