Submergées par des vagues inattendues d'automobilistes, les communes tentent de réguler les calculateurs de parcours qui les pénalisent.

La capitale danoise est devenue la ville la plus attractive du monde pour les cyclistes.

Portées par un progrès technique fulgurant, les voitures de sport à batterie offrent désormais des performances vertigineuses. Les citadines ne sont pas en reste comme l'indique l'article intitulé "Urbaines et branchées".

Les ZFE continuent de se déployer en France. Partagées entre urgence écologique et crainte de la grogne, les villes tentent de composer.

La zone à faibles émissions de la métropole alsacienne est active depuis le 1er janvier 2023. Une mesure dont l’efficacité ne convainc pas les habitants.

Zéro artificialisation nette, zones à faibles émissions, trajectoire des finances locales... : dans un entretien exclusif à «La Gazette», la Première ministre répond aux inquiétudes des acteurs territoriaux. Son mot d'ordre ? «Une règle nationale ne doit pas faire obstacle à une solution efficace localement.». Fait partie d'un numéro spécial "Transition écologique".

Depuis vingt ans, un mouvement mondial se dessine autour de projets urbains et paysagers de reconversion d'infrastructures routières. Le programme de recherche-action « Avenues métropolitaines » de L'Institut Paris Region s'est emparé de ce sujet, contribuant à la réflexion sur le futur des autoroutes du Grand Paris et de leurs territoires.

Autorisés à transporter des clients, des centaines de voitures sans conducteur arpentent depuis quelques mois les rues de San Francisco. Mais dans un pays où plus de la moitié des centres-villes est déjà utilisée pour parquer les automobiles ou permettre leur déplacement, certains ont décidé de dire stop. Leurs armes ? De simples cônes de signalisation.

Les zones à faibles émissions pour la mobilité (ZFE-m) ont été créées par la loi du 29 décembre 2019 d'orientation des mobilités. Elles succèdent aux zones à circulation restreinte (ZCR), dont la création dans les agglomérations couvertes par un plan de prévention de l'atmosphère était facultative. Elles ont pour objet de limiter l'accès des véhicules afin de lutter contre les dépassements réguliers des normes de qualité de l'air.

Un tiers des habitants se retrouveront interdits de circuler le 1er janvier 2024 par une réglementation "écologique". Déjà 10 % aujourd'hui. La métropole essaye d'arrondir les angles, mais la colère monte.

Ce que la technocratie nomme aimablement "nouvelles mobilités urbaines" masque une foire d'empoigne, où règne la loi du plus fort. Mal informés sur les préséances entre véhicules, excédés par une signalétique erratique, automobilistes, cyclistes, piétons, trottineurs, taxis, conducteurs de bus sont en guérilla permanente.