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Cinéma -- Production et réalisation

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Roman Polanski et Costa-Gavras ont été, dès leurs débuts, dans les années 1960, remarqués pour leur talent et continuent d'être toujours, cinquante ou soixante ans plus tard, sous les pleins feux de l'actualité. Le compositeur Alexandre Desplat qui met en musique leur dernier film, "J'Accuse" et "Adults In The Room", s'en explique.
Numéros de page :
pp.102-105

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Entré en cinéma en 1965 avec "La Vie de château", le réalisateur Jean-Paul Rappeneau revient sur ce premier tournage.
Numéros de page :
pp.111-113

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Le cinéaste ukrainien est à l'honneur à la Cinémathèque du documentaire, à partir du 8 janvier 2020.
Numéros de page :
pp.82-83

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En 2019, nous avions rencontré Tamer El Said (no 752) pour revenir avec lui sur son très beau, et pour l'instant seul, long métrage, "Les Derniers Jours d'une ville" (2017). Visionnaire par rapport à la révolution à venir (le film a été tourné en 2009), il radiographie un Caire en plein bouillonnement politique tout en suivant les déambulations de Khalid, son personnage principal, cinéaste à la recherche d'un appartement en centre-ville et d'un film à tourner.
Numéros de page :
pp.88-91

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L'un des mérites de "Bunuel en el laberinto de las tortugas" ("Bunuel après L'Age d'or"), le film d'animation signé par Salvador Simo Busom sorti dans les salles au printemps 2019 (voir no 700, p. 56), est de souligner l'importance de "Las Hurdes / Tierra sin pan" ("Terre sans pain") dans la filmographie du réalisateur aragonais. Court métrage documentaire de vingt-sept minutes et trente secondes, il a marqué un changement décisif de la conception du cinéma et du monde du cinéaste. A un moment où Bunuel n'avait à son actif que deux films coréalisés avec Salvador Dali.
Numéros de page :
pp.66-71

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Plusieurs films chinois récents vus dans les festivals de Cannes, de Berlin ou de Venise, puis sortis en France ou sortant prochainement, nous incitent à apporter un éclairage sur ces oeuvres qui ne représentent qu'une petite partie de la création chinoise actuelle. La Chine, pays dont la population est presque équivalente à celle de l'Inde pour un territoire plus vaste, produit aujourd'hui la moitié de ce que produit sa voisine, une progression constante depuis une dizaine d'années. En raison de volontés expansionnistes, elle intervient même largement dans la production américaine.
Numéros de page :
pp.96-99

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"The Irishman", "Marriage Story" de Noah Baumbach, "Uncut Gems" de Josh et Benny Safdie : ces trois films, représentant chacun à leur façon un aboutissement de l'oeuvre de cinéastes new-yorkais issus de différentes générations, partagent aussi la triste distinction d'être privés de sortie française. Pour les voir, il faut s'abonner à Netflix, producteur des deux premiers et détenteur des droits internationaux du troisième.
Numéros de page :
pp.24-25

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Le festival de Vesoul organisait la première rétrospective française du chef de file du cinéma tibétain.
Numéros de page :
pp.62-63

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Les gigantesques flammes qui ont dévasté l'Australie cet hiver 2019 réveillent le souvenir d'un âge d'or du cinéma austral dans les années 70 et 80, quand les cinéastes des antipodes interrogeaient l'imaginaire du désastre et de la fin du monde.
Numéros de page :
pp.78-83

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Après "Ilo Ilo", Caméra d'or à la Quinzaine des réalisateurs du festival de Cannes en 2013, Anthony Chen a tenté de bâtir une production anglo-saxonne depuis Londres, mais l'entreprise n'a pas encore abouti. Dans "Wet Season", son deuxième film, il revient à ses racines : Singapour, petit territoire isolé, mais un des plus riches au monde, multiethnique, multilingue, multireligieux. Des personnages solitaires, parce que abandonnés, s'y croisent et tentent de communiquer.
Numéros de page :
pp.22-27

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Article paru en 1960 dans "Films and Filming" et reproduit dans "Hollywood Directors : 1914-1940", de Richard Kozarsk.i, Oxford University Press, 1976. Traduit de l'anglais par Alain Masson.
Numéros de page :
pp.46-49

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Hormis les habitués de la Cinémathèque française (mais c'était en 2007 ! ) et de quelques festivals, le public français ne connaît guère l'ampleur de l'oeuvre de ce cinéaste russe singulier qu'est Alexandre Sokourov. Au mieux les films dits "de fiction" de "La Voie solitaire de l'homme" (1978) à "Francofonia" (2015) et bien peu les "documentaires" qui constituent pourtant une grande partie de sa production (mais on sait qu'il critique ces dénominations, préférant parler de cinéma "joué" et " non joué").
Numéros de page :
pp.64-68