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Cinéma -- Production et réalisation

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Une récurrence est observable dans les films de Stanley Kubrick : les scènes de bal. Mais il n'est pas le seul à s'être prêté à l'exercice de reproduire un bal et tous les enjeux qui vont avec sur grand écran.
Numéros de page :
pp.73-77

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Depuis "Peppermint Candy" en 2000, notre revue porte une attention soutenue et enthousiaste au travail de Lee Chang-dong (trois couvertures, trois entretiens). L'année dernière, nous fûmes si complètement transportés par "Burning" (voir n° 691, p. 16) que nous décidâmes de revenir plus longuement sur l'oeuvre du cinéaste coréen. La sortie ce mois de l'édition française du DVD nous en donne l'opportunité.
Numéros de page :
pp.90-106, 108-112

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On y arrive la nuit, par bateau, et on la découvre, cette île en plein coeur de l'Amazonie nommée «isla de la fantasia», couverte d'eau quatre mois par an, et qui fournit l'étonnant décor de "Los Silencios" : des cabanes en bois sur pilotis, des ponts, des sentiers suspendus au-dessus de l'eau, et la jungle tout autour. Ce n'est pas seulement un décor de cinéma, c'est aussi un village où vit, depuis trente ans, une population composée d'indigènes et d'immigrés, notamment des Colombiens. Sommaire. La vie des morts, critique du film par Ariel Schweitzer.
Numéros de page :
pp.60-62

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L'éclatante réussite de "Douleur et Gloire" confirme, après "Julieta", le regain de puissance émotionnelle du cinéma de Pedro Almodovar. Les "Etreintes brisées" et "La piel que habito" étaient des oeuvres raffinées mais quelque chose de glacé y bridait l'élan des affects, quand "Les Amants passagers" échouait à renouer avec le côté primaire de ses premiers films.
Numéros de page :
pp.8-14, 16-19

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Les "Cahiers du cinéma" passe en revue la programmation de l'édition 2019 du Festival.
Numéros de page :
pp.30-32, 34, 38

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La Palme d'or décernée au formidable "Parasite" consacre l'oeuvre de Bong Joon-ho. C'est une joie de voir ainsi couronné ce cinéaste de 49 ans au moment où, après deux productions internationales ("Transperceneige", "Okja"), il revient au pays de ses chefs-d'oeuvre ("Memories of Murder", "The Host"). Cet entretien a été réalisé avant Cannes et la critique de "Parasite", en salle depuis le 5 juin, été publiée dans notre numéro de mai 2019.
Numéros de page :
pp.38-40

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Retour sur l'oeuvre mystique et politique d'un cinéaste marginalisé, mort le 11 mai 2019 à 74 ans.
Numéros de page :
pp.80-84

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Une rétrospective au Centre Pompidou a permis de découvrir l'oeuvre du cinéaste serbe, figure du cinéma militant et de la « Vague noire » yougoslave. Sommaire. Zelimir Zilnik, le mouton noir des Balkans. Les indicateurs hétérogènes.
Numéros de page :
pp.86-91

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Alexandre Sokourov était l'invité d'honneur de la 20e édition du Festival du cinéma européen de Lecce, du 8 au 13 avril 2019. Il n'avait pas de nouveau film à présenter, mais nous l'avons rencontré pour aborder avec lui des sujets plus généraux, à la fois cinématographiques et politiques, et pour évoquer en particulier son engagement dans le projet hors du commun d'une école de cinéma dans le Caucase - une aventure compliquée dont il tire un bilan mitigé, mais qui lui permet de revenir sur son propre passé d'étudiant.
Numéros de page :
pp.92-95

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Laure de Clermont-Tonnerre a grandi en France puis a débuté dans l'art dramatique à New York. La jeune femme, qui vit aujourd'hui à Los Angeles, a tourné son premier long métrage dans les paysages rocailleux du Nevada, comme si la tentation du cinéma était indéfectiblement liée à celle de l'Ouest. Dans "Nevada", la réalisatrice française orchestre avec brio la rencontre de deux genres américains par excellence, le western et le film de prison.
Numéros de page :
pp.44-51

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A Lisbonne comme ailleurs, les cinémas du centre-ville ont presque tous fermé. Un paradoxe pour la capitale d'un pays aussi cinéphile.
Numéros de page :
pp.87-89

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Voyage à Gabès, à la rencontre de la jeune garde du cinema tunisien, fuyant les circuits touristiques classiques et prenant ses distances avec un certain discours post-révolutionnaire.
Numéros de page :
pp.100-105