Des Assyriens à Sophie Calle, "Beaux Arts" s'est installé à la table d'innombrables artistes pour achever l'année dans l'opulence et la générosité. La preuve : Alain Passard a élaboré un repas de fête rien que pour vous ! Sommaire. Quand les artistes passent à table. Fêtes artistiquement modifiées. Le réveillon exclusif d'Alain Passard pour "Beaux Arts". Du cinéma orgiaque !

A l'occasion de la rétrospective intégrale proposée par la Cinémathèque française jusqu'au 28 février 2022, ainsi que de la ressortie en salles (depuis décembre et jusqu'en avril) et en DVD et Blu-ray de quatre de ses films - "La Petite Voiture", "Le Lit conjugal", "Le Mari de la femme à barbe", "Dillinger est mort" -, retour sur ce grand cinéaste inclassable qui fit un pont entre la comédie italienne et la modernité la plus iconoclaste.

Jeune journaliste, Michel Audiard écrivait sous pseudo des reportages sur la pègre dans "L'Etoile du soir". Dans l'article qu'il consacre à cette période peu connue de celui qui n'était pas encore le dialoguiste culte des "Tontons flingueurs", Franck Lhomeau, son biographe, raconte que cet "envoyé spécial permanent" parcourait "le monde de sa chambre, sans quitter ses pantoufles, en pratiquant le "reportage immobile". Une pratique couramment acceptée à l'époque. Rien n'était vrai, mais rien n'était vraiment faux : on entretient la légende, on romance la vérité.

La paranoïa est un mot ancien qui, chez les tragique grecs, désignait déjà un coup de folie, mais plus étymologiquement une sorte de pensée décalée, une cause traversant le sujet sans lui appartenir, comme venue d'ailleurs, obsédante à force de lui tourner autour. Comme nous y invite par son titre le dernier film d'Albert Serra, il y aurait tout lieu de s'interroger sur ses rapports à la fiction, tant elles présentent une analogie de structure. Sommaire. La ligne d'ombre, la critique du film par Mathieu Macheret. Bons baisers de la spirale, entretien avec Albert Serra par Yal Sadat.

Ce texte du producteur britannique d'origine hongroise Alexander Korda a été publié en Italie à l'occasion de la présentation de deux de ses productions, L"a Vie future" et "La Conquête de l'air", à la troisième Mostra de Venise, en 1935.

L’été est là, avec son ciel clair plein d’étoiles quand tombe la nuit. Qui d’entre vous, chers lecteurs, allongés dans l’herbe verte d’un jardin plongé dans l’obscurité, n’a jamais rêvé, en contemplant l’immensité de cette toile scintillante, d’être transporté, de s’élever par un moyen ou un autre au milieu des nuées pour observer de plus près l’espace infini ? Pour ce numéro estival, Virgule vous propose d’embarquer pour un merveilleux voyage plus près des étoiles, en compagnie de personnages hauts en couleurs de la littérature. Attachez vos ceintures, décollage imminent !