Les deux constructeurs devaient dévoiler un accord remettant leurs participations croisées à égalité. Un partenariat à redéfinir.

A l'instar de ses fleurons automobiles chahutés en Chine, l'industrie allemande peine à trouver un nouvel élan.

Très attendus, les nouveaux modèles zéro émission doivent relever plusieurs défis pour s'imposer comme une véritable alternative aux thermiques. Sommaire. Electrique : opération séduction ! Les stars de 2024.

Souvent envié, le succès économique allemand repose sur la puissance de son industrie, automobile, notamment. Pour parvenir à tel niveau de compétitivité, l'Etat allemand est loué pour ses capacités de réforme du marché du travail. Par contre, sa longue tradition de délocalisation industrielle vers le groupe Visegard (composé par la Hongrie, la Pologne, la République tchèque et la Slovaquie) est souvent mal connue, malgré sa longévité. La chute du mur de Berlin et l'intégration européenne de l'ancien bloc de l'est n'ont en rien modifié le procédé.

A la tête de Renault et Nissan, il était l'un des patrons les plus puissants du monde. Froid, déterminé, incontesté et extrêmement bien payé. Jusqu'à ce que tout s'effondre sur des accusations de fraude fiscale.

"Female" met en scène la dirigeante d'un constructeur auto. Pour Virginie Bernard, professionnelle du secteur, l'autorité passe d'abord par la compétence.

Qu'il s'agisse de citadines, de familiales, ou de modèles « premium », les nouveautés électriques tricolores vont déferler sur nos routes en 2024.

"Je vois Enzo Ferrari comme un personnage romantique" a dit Michael Mann, qui raconte dans un beau film diffusé sur Prime Vidéo le créateur de la célèbre voiture rouge. Un mythe toujours fascinant.

En 2015, le constructeur automobile sud-coréen Kia a ouvert une usine à Pesqueria, dans la banlieue de Monterrey. Des travailleurs coréens ont afflué. Comment ont-ils transformé la ville ? Un journaliste mexicain s’est rendu sur place.

Tous en voiture électrique… chinoise ! Face à la déferlante de véhicules bon marché made in China, les industriels européens ont du mal à trouver la parade. Si la fin du moteur thermique est programmée pour 2035 dans l’UE, elle ne se fait pas sans hoquets. Les constructeurs du continent ont pris du retard et leurs véhicules sont plus chers que leurs équivalents chinois. La Chine est bien en tête de la course, de quoi pousser Volkswagen, Stellantis et Renault à faire alliance pour ne pas se laisser distancer. Sommaire. Un champion chinois en première ligne. Une domination qui reste fragile.

Alors que la fin des voitures thermiques est programmée pour 2035 dans l’UE, ces véhicules polluants commencent à inonder les Balkans, et la Serbie en particulier.