Des mois après leur infection, certains patients souffrent encore de symptômes handicapants. Des solutions concrètes s'offrent à ceux qui ne se sont jamais remis du Covid-19. Reportage dans une consultation spécialisée à l'Hôtel-Dieu à Paris.

Pilier de la stratégie anti-Covid du gouvernement, les tests rapides devraient voir leur demande exploser. L'occasion de relocaliser la filière ?

La vaccination anti-Covid est une affaire de gros sous, qui auront été correctement investis si les piqûres administrées permettent d'éradiquer le virus. Reste que les Français font preuve d'une méfiance singulière, avec laquelle il faudra composer. Sommaire. Vaccin, le virus de la méfiance. Qui sont les "vaccinoprudents" ? Doses et.. surdoses de cash. Tout, tout, tout... Vous saurez tout sur les vaccins. Comment ils veulent nous faire "avaler la potion".

En France, il existe entre 1,35 et 1,45 millions d'associations avec 13 millions de bénévoles en 2019 et 1,85 million de salariés à temps plein ou partiel. Ces associations représentent 113 milliards de budget, soit 3,3% du PIB. Au début de la crise du Covid-19, elles ont connu un regain de générosité (avec une explosion de dons numériques) mais craignent que cet élan s'essouffle sur la fin de l'année 2020, alors que leurs besoins augmentent et les conditions économiques sont difficiles, notamment à cause d'annulation d'événements qui ont généré des pertes d'activités et de visibilité.

Attestation dérogatoire de déplacement, permission des 20 km, de 8 m2 par client dans les boutiques. Beaucoup de Français sont entrés en sourde résistance face au nouvel ordre sanitaire. Sommaire. Règles imbitables, ras-le-bol général. Mais comment ils nous pondu ces mesures ? La France des petites combines. Au village sans restrictions. Une pluie d'étranges "PV Covid". "Enfermé, moi ? Jamais !".

La parenthèse dépensière se referme et laisse place à un retour aux fondamentaux économiques du macronisme, inchangés malgré les crises qui se succèdent. Sommaire. Le "quoi qu'il en coûte", c'est terminé. La fin tragique de l'argent magique. "Vivre avec 84% de son salaire, c'est mettre sa vie en pause".

L'Espagne est un des pays européens les plus affectés par la Covid-19. La pandémie a eu des conséquences psychologiques importantes dans la population générale. Les infirmiers impliqués dans la gestion de cette crise sanitaire soudaine et majeure ont été particulièrement impactés sur le plan psychologique. Dans cet article est présenté un aperçu global incluant les facteurs négatifs et positifs du vécu des infirmiers dans les deux principales villes d'Espagne touchées par le virus : Madrid et Barcelone.

La crise sanitaire liée à la pandémie du coronavirus (COVID-19) a obligé la société, et les hôpitaux en particulier, à s’adapter et se réformer. Le travail en équipe entre hôpitaux, même au-delà des réseaux, a permis de faire face à la crise. Le corps médical et infirmier a dû apprendre à travailler différemment et faire la distinction entre les soins urgents et non urgents. Mais le patient aussi a dû changer ses comportements. L’accès aux hôpitaux s’est vu diviser entre un trajet COVID et non-COVID, bien distincts, afin d’éviter des contaminations.

La pandémie de COVID-19 a débuté au mois de mars 2020 sur le territoire belge. Elle a contraint nos institutions hospitalières à une série de réorganisations singulières soutenues par l’activation du Plan d’Urgence Hospitalier. Cet article a pour objet de décrire l’expérience du Centre Hospitalier Universitaire de Liège (CHU de Liège) durant la pandémie de COVID-19 et de relater l’efficience de la mise en place d’un centre de tri avancé en amont des services d’urgences pour la gestion des admissions hospitalières.

En décembre 2019, à Wuhan, une nouvelle pathologie infectieuse humaine est née, le COVID-19, consistant avant tout en une pneumonie, induite par le coronavirus nommé SARS-CoV-2 en lien avec l’intensité de la détresse respiratoire qu’il entraîne (SARS pour syndrome respiratoire aigu sévère, et CoV pour coronavirus). Une véritable crise sanitaire et planétaire est apparue, bien plus conséquente que celle liée au SARS-CoV-1 en 2002-2004 et au MERS-CoV (Middle East Respiratory Syndrome Coronavirus) en 2012.