Le chef de file des députés PS publie "En Permanence", récit des vies et des drames de sa circonscription rurale, et première étape d'une mue politique.

Le président n'hésite pas à inviter les religions dans le débat public. Mais se dit très soucieux de garantir la laïcité. Reste à conjuguer son inclination avec cette obligation. Sommaire. Macron, Dieu et la politique. Le silence des députés En Marche. Valls marque son territoire. Les mystères de sa foi. Tareq Oubrou, imam de Bordeaux : "Sur l'Islam, Macron a des idées pragmatiques". Avons-nous perdu le nord ?

Une fois les votes comptabilisés, les sièges doivent être répartis entre les partis. En Belgique, pour les élections parlementaires, nous utilisons le système d'Hondt pour effectuer cette répartition.

De Raphaël Arnault à Louis Boyard, Jean-Luc Mélenchon fait émerger une nouvelle génération d'Insoumis qui ne jurent que par leur gourou.

Les élus de l'ex-majorité, entre envie de se démarquer de l'exécutif et devoir de loyauté, peinent à trouver leur place dans une Assemblée morcelée.

De retour sur les bancs de l’Assemblée nationale, l’ancien chef de l’Etat, au bilan pourtant sévèrement critiqué à gauche, a adopté, au sein du groupe socialiste, la posture du vieux sage pas toujours au-dessus de la mêlée. A 70 ans, l’élu de Corrèze court les séances de dédicaces de son nouveau livre, et s’active, en vue du véritable retour dont il rêve, en 2027.

Violent, fiché S, et pourquoi pas antisémite. Raphaël Arnault le dit lui-même : "Tout a été dit sur moi, sauf que j'étais un mangeur d'enfants." De quoi donner envie de passer les premiers mois de sa mandature avec le "premier député antifa" de France.

La première année du Rassemblement national au Palais-Bourbon a consacré la montée en puissance des anciens de Debout la France (DLF), le parti de Nicolas Dupont-Aignan. Efficaces et travailleurs, ces députés gaullistes se sont fait une place de choix dans l'entourage de Marine Le Pen.

Pour la première fois depuis l’instauration du quinquennat en 2000, les élections législatives françaises des 12 et 19 juin 2022 n’ont donné qu’une majorité relative au président nouvellement réélu Emmanuel Macron. Un nouvel épisode des luttes entre l’exécutif et la représentation nationale ? Entretien avec Michel Winock.

Sous la Ve République, le Parlement a longtemps fait figure de serviteur du pouvoir exécutif. L'existence d'une solide majorité parlementaire en faveur du président de la République (excepté durant les périodes de cohabitation) a incité à considérer l'Assemblée nationale - et, dans une moindre mesure, le Sénat- comme une quasi-chambre d'enregistrement des lois. Or la présence d'une majorité relative de 2022 à 2024, puis l'absence de toute majorité depuis les élections législatives anticipées de l'été dernier ont sensiblement rebattu les cartes.