Pendant des décennies, ce bastion communiste a voté à gauche. À la suite de la désindustrialisation, il s’est massivement tourné vers le parti d’extrême droite lors des législatives du 18 mai.

Après des manifestations parfois violentes à Los Angeles contre sa politique migratoire répressive, Trump y a envoyé la garde nationale et les marines. Des mesures qui laissent craindre une dérive dictatoriale, écrit cette chroniqueuse.

Alors que les raids de l’ICE, la police de l’immigration, se multiplient, la peur des contrôles au faciès s’empare des Américains latinos et plus largement de tous ceux qui ont la peau mate, qu’ils soient ou non en règle. Sommaire. La grande peur des Latinos. Des vidéos pour résister. Trump va trop loin.

Comment l'exception algérienne a été négociée en 1968.

Principal point de passage vers les Etats-Unis, la ville de Tijuana, au Mexique, est aujourd’hui vidée de ses migrants. Le résultat du durcissement drastique de la politique migratoire voulu par Donald Trump.

Restrictions du regroupement familial, du droit d’asile, de l’obtention de la nationalité… Le gouvernement finlandais revoit son système d’accueil pour les réfugiés, les étrangers détenteurs d’un titre de séjour ou d’un permis de travail. Dans un pays connu pour son ouverture aux migrants, ce changement d’approche reflète les contradictions des sociétés nordiques.

Kennett, dans le Missouri, qui a voté à 80 % pour le président américain, s'est rebellé contre l'arrestation de Carol Mayorga, une de ses habitantes immigrées. Une résistance inédite qui a fait de ce bourg un symbole.

Le 14 juin, des millions d’Américains ont manifesté contre Trump et sa parade militaire, comme cette fille d’immigré, qui a défilé pour son père menacé d’expulsion. À Los Angeles, la chasse généralisée aux sans-papiers suscite l’angoisse et la révolte. Sommaire. "Je prends la parole pour ceux qui ne l'ont pas". Trump fait la police avec l'armée. La violence politique devient presque quotidienne.

La normalisation de la vie politique et institutionnelle au Royaume-Uni pourrait être de courte durée. Keir Starmer est en train de tomber dans un double piège. Le premier est de faire peser l'effort budgétaire sur l'ensemble des contribuables, sans suffisamment tenir compte des capacités réelles de chacun, ce qui creuse les inégalités et augmente la pauvreté, y compris de ceux qui bénéficient d'un emploi.

Paris et Londres sont convenus d’un "projet pilote" d’échange de migrants. Celui-ci produira peu d’effet, estime ce journal pourtant proche des travaillistes au pouvoir.

Dotée de prérogatives et de moyens exceptionnels par le président, la police de l'immigration déploie des méthodes particulièrement agressives, dans une quasi-impunité.