Fin janvier 2025, la sénatrice Anne Souyris a visité le CRA de Vincennes, où les retenus ont témoigné de traitements indignes. Quinze jours avant la visite, un homme à l’isolement avait tenté de se suicider. Sommaire. En centre de rétention, des conditions "pires que la prison". Sixte Ugolini qui déclare : « Qu’est-ce que cet acharnement à vouloir expulser des gens à tout prix ? » La gauche cherche sa voie.

Préservée jusqu'à présent de la montée de l'extrême droite, l'île d'Émeraude est secouée depuis plusieurs semaines par des manifestations contre l'accueil des demandeurs d'asile, ukrainiens ou originaires d'autres régions du monde.

Nous pouvons certes dater l'émergence d'une immigration en France depuis le milieu du XIXe siècle. Mais nous savons bien que depuis son passé le plus lointain, la France s'est construite par la fusion dans le creuset de l'État-nation d'une diversité géographique, familiale et linguistique. Parce qu'elle ne se définit ni par le sol ni par le sang, mais par le libre consentement et l'adhésion volontaire à la "Nation", la France et son universalisme ne peuvent être "contre", par principe, l'immigration.

En février 2019, l’écrivain américain Dave Eggers s’est aventuré dans un meeting donné par Donald Trump à la frontière mexicaine. Au programme, fake news, bagarres dans le parking et public en délire...

Deux centres de rétention pour migrants gérés par Rome ont ouvert leurs portes dans ce pays des Balkans. Un dispositif inédit qui pourrait séduire d'autres Etats, mais qui inquiète le Conseil de l'Europe. L'enquête se poursuit par l'article intitulé "Immigration. Quand l'Europe se referme".

Dans cette "ville sanctuaire", désormais tétanisée par la peur, les immigrés n'osent plus sortir dans la rue et ceux qui les protègent sont menacés. Le bastion démocrate s'est mis en ordre de bataille pour empêcher les rafles anti-immigrés massives voulues par Trump.

Certaines voix à gauche appellent à ne plus fuir les débats sur l'identité nationale et l'immigration.

L'Union européenne tente de lutter contre les réseaux de passeurs à ses portes, en Bosnie.

Les élus républicains texans ont fait de leur État un modèle de lutte contre l’immigration. Ils comptent bien jouer un rôle de premier plan dans la politique d’expulsion massive des clandestins annoncée par Donald Trump.

Depuis 2014, près de 25 000 personnes sont mortes en Méditerranée, noyées ou portées disparues en tentant de rejoindre l’Europe. Sur les bateaux partis de la Libye se trouvent de plus en plus de Syriens. Parmi eux, Mohamed, qui a pu rejoindre une petite ville allemande après avoir vécu l’enfer.

Donald Trump a annoncé la “plus grande opération d’expulsion de masse” pour juguler l’immigration illégale. Mais l’histoire montre que les précédents des années 1930 et 1950 ont nui à l’économie nationale, tout en créant un climat de peur chez les sans-papiers. L'article intitulé "Derrière sa frontière, le Mexique s’organise" complète l'analyse du "Guardian".