La disparition des abeilles et autres pollinisateurs augmenterait la malnutrition et les carences en vitamines A et B9 chez l'homme, selon une étude de l'université Harvard.

Look soigné, recettes innovantes et réseaux sociaux : les nouvelles "cantines ambulantes" font un carton aux Etats-Unis.

De plus en plus d'études scientifiques montrent qu'il est possible de mieux préserver l'environnement en étant plus vigilant sur ses choix alimentaires.

"Sciences et Avenir" a fait analyser 16 laits infantiles. Les résultats révèlent la présence de composés indésirables, en proportions variables. Aucune réglementation n'en limite la teneur mais le comité scientifique européen sur l'alimentation estime qu'elle "devrait être réduite au maximum (...) possible".

Par crainte du prion, les consommateurs délaissent les gélatines de mammifères. Ils pourraient utiliser les gelées de poissons... d'eaux chaudes !

"C'est dégeu !", râlent les collégiens devant leurs plateaux-repas. Et dangereux pour leur santé, ajoutent les chercheurs de l'Institut Pasteur de Lille qui les ont analysés.

En révélant que l'encéphalopathie spongiforme bovine pourrait bien être transmissible à l'homme, le gouvernement britannique n'a pas seulement plongé dans le marasme la "filière viande" : il a déclenché une sorte de séisme culturel.

L'estimation des risques, corrélée à de nouvelles méthodes de contrôle, a charpenté les présentations et les débats menés lors de la conférence "Intégration des Recherches en Sécurité et en Nutrition au cours de la transformation des aliments : les nouveaux défis", à Lille, fin octobre dernier.