Un regard étranger et lucide sur l'état du pays et son avenir possible.

Réforme bancaire : au nom du défi concurrentiel, mais pas du défi systémique.

L'opération Gallois aurait-elle fait long feu avant même d'avoir existé ? En confiant à ce patron de gauche modéré et respecté la rédaction d'un rapport sur la compétitivité (attendu pour le 5 novembre 2012), le gouvernement avait suscité l'espoir d'un prochain ″choc″ salvateur pour l'industrie française. Prenant la forme d'un allègement de charges financé par l'impôt, la formule semblait même recevoir le début d'un acquiescement syndical, notamment de la part de la CFDT. Las, devant l'obstacle, l'exécutif semble décidé... à renoncer.

La purge de 2013 prépare le rebond en 2014.

Hollande n'a d'autres choix que d'imposer à la gauche son ″Pacte productif″.

Bilan de la politique économique menée par le président de la République française, François Hollande, au cours de la première année de son exercice, du printemps 2012 au printemps 2013. Alors que la situation du pays impose soit une politique de relance, soit une politique d'austérité, la politique mise en oeuvre est dans l'attente et floue. Si bien que l'espoir d'une reprise économique salvatrice, caressé pour la fin de l'année 2013, est désormais repoussé à la fin de 2014.

Une vision des menaces chinoises qui donne à réfléchir.

Décryptage de la situation économique morose de la France et de la politique économique du président de la République, François Hollande, à l'occasion de la conférence de presse tenue en mai 2013. Alors que le pays est en récession, les annonces du président restent timides comme si la pleine mesure de la gravité de la situation était sous-estimée. L'heure n'est plus à la relance de la consommation, mais désormais à la relance de l'investissement. Or l'investissement des agents économiques a fléchi de 1,2% en 2012.

François Hollande a brûlé ses vaisseaux sur le rivage de la zone euro.

Le point de vue sur le monde d'un grand patron.

Le scénario de la ″crise ultime″ par un observateur crédible.

Pourquoi pas un patron d'entreprise à la tête du pays ?