Les innovations formelles du cinéma prennent aujourd'hui souvent la forme de choix contraignants de mise en scène : plan-séquence unique, croisement de destins personnels dans le film-choral, petites caméras chez Kiarostami ou Lars von Trier.

Pour contrecarrer la mainmise des longs-métrages à gros budget et pour être mieux en prise avec l'actualité, un ancien réalisateur-producteur de Hollywood a créé un nouveau système de réalisation, de production et de distribution de documentaires.

Suite de la publication des extraits du journal de tournage que Régis Wargnier a accepté de tenir, pour nous, sur le plateau d'"Est-Ouest", qu'il a terminé fin décembre en Bulgarie.

Suite et fin de la publication des extraits du journal de tournage que Régis Wargnier a tenu, pour nous, sur le plateau d'"Est-Ouest", qu'il a terminé fin décembre en Bulgarie...

Deuxième volet du journal de bord de Sophie Benamon, seule journaliste à avoir pu se rendre sur le tournage du "Retour du roi" - et dans les coulisses du "Seigneur des anneaux" - en Nouvelle-Zélande.

Le livre qui dévoile la face cachée et honteuse de l'industrie du fast-food est devenu un film, que Richard Linklater a dû tourner dans le secret.

En adaptant le best-seller de Jean-Christophe Grangé, Guillaume Nicloux plonge dans un univers aux limites du fantastique et entraîne avec lui Monica Bellucci - et Deneuve.

Avec "Ne le dis à personne", le réalisateur de "Mon Idole" signe une mise en scène enlevée, ample et brillamment manipulatrice. Décryptage avec deux séquences mises en lumière par son auteur.

Entre les très grosses productions et les films - bouts de ficelle -, les productions à budget moyen, celles qui font le cinéma français, sont menacées de disparition.

Dans "Alexandra", son dernier long métrage en compétition à Cannes en mai dernier, le cinéaste russe livre, dans la lignée de "L'arche russe" et "Le soleil", une mise en scène qui laisse le spectateur dans un état d'apesanteur.

Vertigo, l'heureuse société productrice de "La Vérité si je mens" 1 et 2, est au coeur d'un imbroglio juridique et financier où sont mêlés chaînes de télévision et studios de cinéma.

Il en met dans tous ses films : façon documentaire dans l'univers carcéral de "Leonera" ou les méandres urbains d'"Elephante blanco" ou, à l'inverse. comme un effet de style un peu mégalo à la fin de "Carancho" ou tout au long d'"El Clan", succession de prouesses stylistiques. Quel que soit son but, le cinéaste argentin choisit le plan-séquence pour l'atteindre. Et souvent, ça marche.