Rescapée d'Auschwtiz, elle témoigne avec dignité de la tragédie du siècle passé. A la tribune de l'Assemblée nationale, la ministre lutte seule pour faire adopter la loi sur l'IVG. Entrée dans la vie publique presque par hasard, cette femme déterminée n'a rien à envier au pouvoir des hommes, et apporte aux causes qu'elle défend une impressionnante autorité morale.

On dit parfois que des enseignants d'histoire renonçaient à parler en classe de la Shoah par crainte des réactions négatives de certaind élèves particulièrement sensibilisés aujourd'hui par le conflit palestino-israëlien. Voici le récit d'une expérience.

Dans le contexte d'inhumanité absolue que constitue le génocide, la notion d'humanité peut-elle décemment tenir une place ?

Pourquoi l'Italie fasciste a-t-elle à plusieurs reprises refusé de livrer des prisonniers juifs à son allié allemand ?

Le pape Jean-Paul II vient de canoniser Edith Stein, juive convertie au catholicisme et gazée à Auschwitz en septembre 1942...

A travers des initiatives parfois iconoclastes, on assiste actuellement en Israël à une réflexion de fond sur la façon de parler de l'Holocauste et sur sa place dans la conscience nationale.

Pour la première fois, des Juifs et des Arabes de tous horizons se sont réunis à Auschwitz.

Selon les informations recueillies à Genève, près de 12 000 Juifs seraient déportés chaque jour vers les camps d'extermination, avec le silence consentant du régent Horthy. Churchill et Eisenhower peuvent-ils arrêter cela ?

Outre-Rhin, les enseignants abordent le passé nazi au collège et poussent leurs élèves à s'identifier aux victimes. La sociologue Alexandra Oeser analyse cette pédagogie de l'émotion.