Objet de nombreux renouvellements et d’un engouement croissant, la préhistoire éclaire la multiplicité des trajectoires empruntées par les sociétés humaines. Une histoire des commencements qui permet de décentrer notre regard.

"Empire of Things. How We Became a World of Consumers, from the Fifteenth Century to the Twenty-first" (non traduit en français), le dernier ouvrage de Frank Trentmann est un important ouvrage de synthèse et de recherche sur l'histoire de la consommation qui est à la fois révélateur de la carrière de l'auteur et de l'évolution d'un champ de recherche.

Longtemps marginalisés au sein de la médiévistique, les ordres militaires ont fait l'objet ces dernières décennies d'une recherche foisonnante, qui a renouvelé notre compréhension de cette forme un peu particulière de vie religieuse. Désormais partie prenante de la recherche, l'archéologie a contribué à « dépoussiérer » l'image classique que l'on pouvait avoir de la commanderie. Les opérations ponctuelles de terrain comme les travaux universitaires menés à l'échelle régionale ont notamment concerné le midi de la France, terre de prédilection des Templiers et des Hospitaliers.

Ma rencontre avec Pierre Nora a commencé sous les meilleurs auspices : Pierre a refusé mon livre. Ou plus exactement, la proposition de traduire "Le Passé, objet de foi. Histoire et philosophie dans la pensée du Moyen Âge" paru à Varsovie en 1968, dont je lui avais soumis un résumé à l'initiative de Jacques Le Goff.

Il y a cent cinquante ans, Napoléon III inaugurait, au château de Saint-Germain-en- Laye, un musée d'Archéologie nationale, surtout consacré aux Gaulois. Jusqu'à Astérix, les Français n'auraient pas d'autres ancêtres. Or, historiens et archéologues ont désormais mis au jour une civilisation élaborée, avec des Etats, une science, un art. Notre dossier propose de mettre de côté les débats identitaires pour plonger, avec un oeil neuf, dans cinq siècles d'histoire gauloise. Sommaire. « Des sociétés prospères et raffinées », entretien avec Laurent Olivier.

On est frappé, à relire les numéros de notre revue depuis quarante ans, de voir à quel point l'histoire est vivante. Elle accompagne les turbulences du monde, les découvertes de la science, les tragédies ou les interrogations sur l'identité. Elle s'attaque, inlassable, aux massifs d'archives abandonnés par les dictatures en déroute, pour y trouver des réponses aux questions laissées béantes, aux drames inexpliqués, aux aveuglements devenus incompréhensibles.

On est frappé, à relire les numéros de notre revue depuis quarante ans, de voir à quel point l'histoire est vivante. Elle accompagne les turbulences du monde, les découvertes de la science, les tragédies ou les interrogations sur l'identité. Elle s'attaque, inlassable, aux massifs d'archives abandonnés par les dictatures en déroute, pour y trouver des réponses aux questions laissées béantes, aux drames inexpliqués, aux aveuglements devenus incompréhensibles.

On est frappé, à relire les numéros de notre revue depuis quarante ans, de voir à quel point l’histoire est vivante. Elle accompagne les turbulences du monde, les découvertes de la science, les tragédies ou les interrogations sur l'identité. Elle s'attaque, inlassable, aux massifs d'archives abandonnés par les dictatures en déroute, pour y trouver des réponses aux questions laissées béantes, aux drames inexpliqués, aux aveuglements devenus incompréhensibles.

On est frappé, à relire les numéros de notre revue depuis quarante ans, de voir à quel point l’histoire est vivante. Elle accompagne les turbulences du monde, les découvertes de la science, les tragédies ou les interrogations sur l'identité. Elle s'attaque, inlassable, aux massifs d'archives abandonnés par les dictatures en déroute, pour y trouver des réponses aux questions laissées béantes, aux drames inexpliqués, aux aveuglements devenus incompréhensibles.

Elle a, en quarante ans, subi bien des mises en cause, dont la plus grave reste le négationnisme. A l'heure des "fake news", les historiens remontent au front.

Deux ouvrages collectifs invitent à se saisir d’archives oubliées pour retracer les fondements, les continuités, mais aussi les divergences, qui forment l’histoire longue des féminicides.