Coaching, développement personnel... Alors que les pseudo-techniques inondent les entreprises, "L'Express" trie le bon grain de l'ivraie. Sommaire. Management : les méthodes qui marchent (ou pas). Les "soft skills", ce vaste fourre-tout. Les vertus insoupçonnées du conflit. Les bons coachs... et les mauvais, par Julia de Funès. Dans la jungle des formations. Christophe Genoud : "Les DHR sont aujourd'hui la cible privilégiée des charlatans". Ces trois fantasmes autour de l'IA. Les effets contrastés du télétravail. "Quiet quitting", "quiet firing"... La "GénZ", plus difficile à manager ?

Située dans l'interstice entre la psychologie et le monde du travail, la psychologie positive appliquée au travail vise le développement du bien‑être au travail, en permettant au salarié, au management ou aux équipes, d'identifier et de développer leurs ressources intérieures, afin de pouvoir notamment dépasser des situations déstabilisantes ou de stress. Présentation des concepts phares qui guident cette discipline.

Indispensables au pays, ces troupes - qui n'avançant plus - le bloquent. Journalistes, magistrats, syndicalistes, professeurs, banquiers, pour chacune de ces catégories de professionnels, la motivation s’est dangereusement grippée. Enrayant la force motrice qu’exercent ces individus sur l’ensemble de la société.

Aujourd'hui, la réussite d'une opération d'incentive dépend beaucoup du lieu où elle se déroule. Atypiques et insolites, mais aussi pratiques et économiques : les lieux choisis par les entreprises françaises doivent avoir une singularité impactante. Donner aux séminaires une dimension à la fois instructive et récréative permet en effet de stimuler les collaborateurs. C’est pourquoi le culturel a désormais la cote, par le biais des nombreux musées qui ouvrent leurs portes aux groupes d’entreprises. Et les lieux atypiques excentrés donnent aux séminaires un air de vacances. Des détails.

Pourquoi peut-on tomber malade du travail ? Le rapport subjectif au travail, c'est-à-dire la manière dont les gens tiennent au travail et pourquoi, un jour, ils craquent, reste une énigme. Parce que le travail est un étayage essentiel en termes d'identité, il faut que certaines conditions soient réunies pour qu'il puisse aller du côté de l'épanouissement et du plaisir.

En France, les entreprises délaissent petit à petit les séminaires au profit des événements d'incentive qui misent davantage sur la cohésion, avec une large place laissée aux séances de travail et de brainstorming collectifs. Les clés de la réussite ? Emmener les salariés loin de leur lieu de travail, dans un lieu beau et calme, et leur prodiguer des marques d’attention. Autre nécessité : les faire participer aux prises de décisions et les responsabiliser. Détails au travers de retours d'expérience. Pas de chiffres.

De nombreuses entreprises françaises se servent du team building pour créer une forme de proximité avec leurs équipes et motiver leurs collaborateurs. Mais pour être réellement efficaces, les activités ludiques doivent correspondre aux aspirations des salariés et doivent n'être qu'un pan de la stimulation du quotidien. En effet, clé de la productivité et d’une atmosphère constructive, la motivation passe non seulement par un environnement de travail plaisant, mais aussi et surtout par la responsabilisation et le développement de l’esprit d’initiative. Explications. Pas de chiffres.

Plus d'un Français sur deux n'était pas motivé à l'idée d'aller travailler en 2016. La démobilisation est forte dans les entreprises, à tel point qu'elle impacterait la productivité à hauteur de 234 milliards d'euros. Et le constat ne va pas en s'arrangeant puisque chez les plus jeunes, la génération Y, seuls 12 % des salariés se disent très engagés, tandis que 49 % sont désengagés. Ces comportements sont néfastes pour l'ambiance interne des organisations, mais également dans les relations avec les clients, et créent davantage de risque d'accident du travail ou de burnout.