Les massacres commis par le Hamas en Israël le 7 octobre et le déluge de feu qui s'abat depuis sur la bande de Gaz ont ouvert un nouveau chapitre de l'histoire dramatique de ces territoires.

On croyait la guerre terminée et avec elle la guerre sainte. La voilà revenue, dans les actes et les dires, du côté du Hamas comme de celui de la Russie. Une guerre sainte qui sert aussi de justification à une guerre juste. Analyse par les textes et les discours

Soufflant le chaud et le froid avec Nétanyahou, Trump bouscule les règles des relations israélo-américaines. Au grand désarroi de l’État hébreu, observe cette politologue de Washington.

La guerre meurtrière que mène Israël dans la bande de Gaza est aussi en train d’anéantir un riche patrimoine et une mémoire millénaire.

Plus de 50 000 personnes au sein du territoire enclavé ont été tuées ou blessées par l’armée israélienne depuis le 7 Octobre. « Une horreur absolue » pour l’Unicef. Mais le sort des survivants doit aussi alerter. Privée d’éducation, piégée dans un siège total au coeur d’une terre dévastée, toute la jeunesse grandit sans protection, sans espoir. Sommaire. Avoir moins de 20 ans dans la bande de Gaza. Khaled Benboutrif : "J'insiste pour dire que des enfants sont en train d'être exterminés". En France, la nouvelle vie des enfants de Gaza.

Dans ce texte écrit depuis l’enclave palestinienne assiégée, ce journaliste gazaoui décrit dans le détail le quotidien sous les bombes et une situation humanitaire effroyable. Et appelle à mettre fin au bain de sang en cours.

Huit lettres et des abîmes d'horreurs. Le mot "génocide" semble charrier à lui seul le pire de ce dont l'humanité est capable : les chambres à gaz, une abominable saison des machettes, un régime cambodgien sanguinaire... Mais il semble agir aussi de manière performative, à la façon d'une baguette magique ou d'un bouclier contre le sentiment d'impuissance : appliqué à une situation insoutenable, on aimerait croire qu'il puisse la faire cesser instantanément.

La trêve avait éveillé un timide espoir dans la bande de Gaza. Mais la reprise des bombardements israéliens et la fermeture des points de passage laissent craindre le pire.

Alors que l'opération «Chariots de Gédéon» vient d'être lancée, Benyamin Netanyahou veut contrôler toute l'enclave, déjà à genoux.

Le général Giora Eiland, ancien chef du Conseil national de sécurité d'Israël, dénonce l'inanité de l'opération "Chariots de Gédéon", lancée par le Premier ministre.