Il se présentait comme invincible, il a fini bon second dans l'Iowa derrière le très conservateur Ted Cruz, à peine devant Marco Rubio. Et si Trump ne se relevait pas de cette défaite ?

L'été dernier, les médias américains prédisaient sa chute. A la veille des caucus de l'Iowa du 1er février 2016, Donald Trump caracole en tête des sondages, provoquant une véritable onde de choc au sein du Parti républicain. Peu importe ses outrances et son inconsistance, le candidat milliardaire a les faveurs des électeurs, en particulier des Blancs pauvres qui s'estiment les laissés-pour-compte des années Obama. Et si son succès - qui pourrait ne pas durer - résidait dans le fait qu'il est l'exact opposé de l'actuel locataire de la Maison-Blanche ? Sommaire.

Démagogue provocateur, Donald Trump a surpris tout le monde en se hissant au sommet des sondages pour l'investiture républicaine. Le succès du milliardaire ne fait pourtant que refléter l'évolution d'un électorat blanc conservateur mal dans son siècle, pétri de ressentiment. A l'époque de la politique-spectacle, ce bateleur de génie est même capable de faire passer des opinions parfois hétérodoxes. Mais comment arrêter le seul candidat qui n'ait pas besoin de soutien financier ?

Face à la montée du candidat populiste, les citoyens américains menacent de se réfugier au Canada. Mais peu d'entre eux mettront réellement leur projet à exécution.

Electeurs à cran, rejet de l'establishment, violence dans les meetings... Rarement la course à la Maison-Blanche aura été aussi agitée et aussi imprévisible. Quelle que soit l'issue des primaires, une chose est sûre, les "phénomènes" Donald Trump et Bernie Sanders laisseront des traces dans la vie politique américaine. Sommaire. Révolution à l'Américaine. Une violence inédite. Comme "un cancer à évolution lente". Les trois peurs de l'Amérique. La faute aux Républicains.

A moins de trois mois de la fin des primaires républicaines, le trublion Trump fait toujours figure de grand favori. Les critiques fusent sur le rôle joué par la presse dans son ascension, très rapide.

Lors des primaires décisives de l'Etat de New York, le 19 avril 2016, les électeurs de la Grosse Pomme vont devoir choisir entre trois candidats aux fortes connexions locales : Donald Trump, Bernie Sanders et Hillary Clinton.

Le milliardaire est en tête dans les primaires mais pourrait se voir ravir l'investiture à la convention, en juillet 2016. Une issue qui risque de provoquer des troubles, comme à Chicago en 1968.

Le favori des primaires républicaines américaines inquiète démocrates et... républicains. Certains, dans son propre camp, ont même juré sa perte.

Trump et Clinton : c'est désormais l'affiche très probable de la présidentielle américaine du 8 novembre 2016. Leur affrontement ne ressemblera à rien de connu. Et le milliardaire cherchera encore à faire mentir les pronostics.

Le phénomène Trump relève-t-il du fascisme ? Oui, répond cette tribune qui a lancé le débat aux Etats-Unis.

Le 26 mai 2016, Donald Trump, futur candidat républicain à l'élection présidentielle américaine, a exposé sa vision de l'avenir énergétique des Etats-Unis.