Dans son atelier jardin des bords de Seine, Astrid de La Forest crée des estampes envoûtantes, images dansantes d'une nature dont elle perçoit la véracité à l'oeuvre derrière le paysage.

Vieux ordinateurs portables recyclés en jardinières, vaste tapis synthétique envahi de végétaux, échafaudage recouvert de mousse... Avec ses oeuvres hybrides, Michel Blazy mixe moisissure et obsolescence programmée comme nul autre avant et après lui. Rencontre dans son atelier-serre de l'lie-Saint-Denis à l'occasion de son exposition au Havre.

Une végétation omniprésente, voire envahissante, un personnage fantomatique, comme perdu dans la composition... Que raconte cette toile ?

Ce mois-ci, "Dada" te propose de découvre un tableau de Gustave Courbet intitulé "Vue de la caverne des Géants, près de Saillon" peint en 1873. L'article intitulé "L'éxil d'un géant" t'explique en bd comment le peintre le peintre à réaliser ce tableau. L'article "Voyage au centre de la terre" décrit les détails clé de l'oeuvre qui fait partie de l'exposition « Mondes souterrains », au musée du Louvre-Lens, jusqu'au 22 juillet 2024 .

Le sujet éminemment sensible du lien de l’homme à son milieu naturel est aujourd’hui au centre des préoccupations. Est-ce pour cette raison que l’artiste italien Giuseppe Penone, figure majeure de l’art contemporain, né dans le Piémont en 1947, est à l’honneur en France cet automne 2022 ? Depuis plus de cinquante ans, son travail se concentre en effet sur la relation de l’homme avec la nature par la pratique de la sculpture, mais aussi par le dessin et l’écriture qui accompagnent son processus créatif et réflexif.

Jusqu'au 3 novembre 2019, le Domaine de Chaumont-sur-Loire présente sa 11ème saison d'art avec douze artistes internationaux : Gao Xingjian, El Anatsui, Agnès Varda, Stéphane Tidet, Vincent Mauger, Janaina Mello Landini, Cornelia Konrads, Christian Renonciat, Marc Couturier, Luzia Simons, Côme Mosta-Heirt, Ma Desheng.

Cette nouvelle saison d'art 2020 de Chaumont-sur-Loire accueille une quinzaine de nouveaux artistes au coeur de "l'utopie verte" du domaine. Sommaire. Joël Andria nomearisoa, prince de la nuit. L'arbre à coeur de Giuseppe Penone. Philippe Cognée, le monde est flou. Pascal Convert, transmuter le passé. Les tapisseries végétales de Marinette Cueco. Léa Barbazanges, prendre son temps. Les sculptures botaniques de Makoto Azuma. Le chemin de vie de Bob Verschueren. Sophie Lavaux, céramique flottante. Isa Barbier, le poids de la plume. Marc Nucera, révéler le bois.

Vingt-trois ans après la parution d’un « Autour de Jacques Rancière » ("Critique", n° 601-602, juin-juillet 1997), les textes rassemblés dans ce numéro – coordonné par Dork Zabunyan – témoignent de l’actualité d’une démarche en même temps que de la continuité d’une oeuvre qui, depuis "La Leçon d’Althusser" (Gallimard, 1975), "La Nuit des prolétaires" (Fayard, 1981) ou "Le Maître ignorant" (Fayard, 1987), et plus clairement encore depuis "La Chair des mots" (Gallimard, 1998), "Le Partage du sensible" (La Fabrique, 2000) et la vingtaine d’essais et de recueils qui ont suivi, diffuse bien au-delà

De quelle façon les progrès de la science et de la théorie de l'évolutionnisme ont-ils affecté l'imaginaire et les artistes du XIXe siècle ? Immense question, et généreuse réponse dans cette première exposition du musée d'Orsay, au carrefour des arts et des sciences.