La biographie du baron Haussmann, né en 1809 et mort 1891, appelé à Paris en 1853 pour être limogé en 1870. Pur produit de son temps, il se campe solidement au point de rencontre du capitalisme industriel alors en plein essor et de l'autocratie dont, en France, le Second Empire fut l'ultime avatar.

Dans un réjouissant florilège, à lire d'une traite ou à picorer, François-Rémy Roqueton vous invite à découvrir le meilleur de la presse française du XIXe siècle. Laissez-vous surprendre par plus de 200 articles aussi étonnants que savoureux : un loup-garou marseillais, un collier en œil de momie, une cité des rats, un journal comestible, une usine de monstres, un dompteur de belles-mères ou encore un téléphone tueur… Demandez le programme des faits divers des journaux d'antan ! Demandez !

Le résumé :+ Jean-Baptiste Pérès, né à Valence d’Agen en 1752, élevé dans l’amour des sciences et le respect de la religion, professeur de mathématiques et de physique chez les Oratoriens de Lyon. Magistrat à Agen, il y finira sa vie en 1840 comme conservateur de la bibliothèque municipale. Il est l’auteur d’un opuscule imprimé pour la première fois, de façon anonyme, à Agen en 1827: Comme quoi Napoléon n’a jamais existé. Grand Erratum, Source d’un nombre infini d’errata à noter dans l’histoire du dix-neuvième siècle, plus connu sous son titre abrégé de Grand Erratum. Ce petit ouvrage connaîtra de nombreuses éditions et traductions (en anglais, en italien...) au cours du XIXe siècle. Ce livre, que peut résumer sa première phrase: Napoléon Bonaparte, dont on a dit et écrit tant de choses, n’a même pas existé, a beaucoup intrigué ceux qu’intéressent l’histoire et ses vertiges, jusqu’à Leonardo Sciascia, auteur en 1989 d’un Jette le masque, Bonaparte! publié ici à la suite du Grand Erratum. ....................................................................................................................................................................................................... Les auteurs : ..Jean-Baptiste Pérès (1752-1840) est un érudit français né à Valence d’Agen. Professeur de mathématiques et de physique chez les Oratoriens, puis magistrat à Agen, il termine sa carrière comme conservateur de la bibliothèque municipale. Son goût pour la rigueur scientifique s’exprime dans un opuscule satirique publié anonymement en 1827 : Grand Erratum, comme quoi Napoléon n’a jamais existé. Parodiant les démonstrations érudites, ce texte joue sur les formes du raisonnement scientifique pour en révéler les dérives et les illusions. .......................................................................................................................................................................................................... Leonardo Sciascia (1921-1989), écrivain, essayiste et homme politique italien, est l’un des grands intellectuels du XXe siècle en Italie. Engagé contre toutes les formes d’obscurantisme, il explore dans son œuvre les zones d’ombre de l’histoire, du pouvoir et de la justice. Dans Jette le masque, Bonaparte ! (1989), il prolonge et réinterprète avec acuité le Grand Erratum de Pérès, en questionnant les formes du récit historique et la construction des figures mythiques. .............................................................................................................................................................................................................. Le graphiste : Philippe Millot, né en 1968 à Kampala, est un designer graphique et enseignant à l'École des arts décoratifs de Paris. Formé à Nancy et Paris, il débute sa carrière en 1992 avec Radio France et devient enseignant en 1999. Membre de l'Alliance graphique internationale, il signe ses créations « SPMillot ». Depuis 2002, il conçoit l'intégralité des ouvrages des Éditions Cent Pages, qu'il rejoint après un incendie ayant détruit l'entrepôt de son distributeur. Son travail, fortement influencé par les graphistes français des années 50-70, se caractérise par une attention particulière au détail typographique et à la mise en page. .............................................................................................................................................................................................................. La maison d'édition : Les Editions cent pages [Grenoble (France)] a ont été créées en 1987. Leur catalogue comporte environ cent titres, en littérature principalement et quelques livres objets, hors norme. Depuis 2003, les livres des Editions cent pages sont conçus par le graphiste Philippe Millot. En 2008, la collection Rouge gorge a reçu la médaille de bronze au Concours des plus beaux livres du monde. ........................................................................................................................................................................................................... La collection : Le titre de la collection Cosaques a été choisi après la publication de Hurrah!!! ou la révolution par les Cosaques. On y mélange plusieurs genres; le trait est plutôt vif et parfois querelleur. Le format de base est de 11 x 17 cm. On trouve le Cosaque debout, parfois allongé, en demi-format, double, mi-lourd, géant, et on peut le porter en perruque. L'impression de la couverture en relief, les tranches ou la colle peintes et le fil de couleur noire sont ses principaux attributs. ............................................................................................................................................................................................................. Médiation en lien : Pôle littérature et bandes dessinées Pôle civilisation et .société ..... .......................................................................................................................................................................................................... ...................................................................................................................................................................................................

Le Rio de la Plata, Argentine actuelle, est la seule région de l'Empire espagnol à ne pas fonder d'Etat central à l'issue des indépendances du XIXe siècle. Quatorze républiques souveraines coexistent. L'histoire de leurs tentatives d'union est ici retracée, démentant le cliché d'une région en proie à l'instabilité et à la violence et offrant l'exemple d'une construction politique non nationale.