Le 20 juillet débute la Coupe du monde féminine de football, coorganisée par l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Plus ce sport se professionnalise, plus les entraînements sont adaptés à la physiologie des athlètes, notamment à leur cycle menstruel.

Dans l’histoire des sciences du sport, il arrive qu’émergent de nouveaux concepts dont on ne sait pas s’ils seront oubliés quelques mois plus tard ou s’ils sont là pour durer et même bouleverser nos connaissances en physiologie. La durabilité, vous connaissez ?

L’expression latine deus ex machina signifie « un dieu sorti de la machine ». A l’origine, elle servait à définir le dénouement inattendu d’une oeuvre théâtrale avec l’entrée en scène d’un acteur incarnant un dieu que l’on descendait généralement du plafond, ce qui nécessitait une grosse machinerie. Dans cet article, on s’en servira pour essayer de comprendre la logique qui préside au fonctionnement des logiciels qui proposent des séances d’entraînement par intervalles. Là aussi, il y a un dieu dans la machine. Et il est bien caché !

Dans les trois derniers numéros, nous avons passé en revue les différences physiologiques entre sportives et sportifs. Dans ce dernier papier de la série, on s’interroge: ces différences doivent-elles changer sa façon de s’entraîner?