Réunion d'études abordant la réinsertion des filles soldats de la République démocratique du Congo grâce au rôle joué par la société civile : les moyens mis en oeuvre, les cas rencontrés, les spécificités féminines, le cadre juridique, etc.

Analyse transversale sous forme de questions-réponses de la matière de l'aide à la jeunesse en Fédération Wallonie-Bruxelles, à la lumière des dernières réformes L'ouvrage analyse, sous forme de questions-réponses, la matière de l'aide à la jeunesse en Fédération Wallonie-Bruxelles à la lumière des dernières réformes (Code de la prévention, de l'aide à la jeunesse et de la protection de la jeunesse, etc).

Sous forme de rapports et de cahiers de doléances, en réaction aux états généraux de l'enfance organisés par le gouvernement, les 80 organisations qui ont participé à cette manifestation entendaient poser les jalons d'une politique globale et positive respectant les droits des enfants et refusant la criminalisation des familles et la discrimination qui touchent les enfants en difficulté.

À l'heure où le dispositif de protection de l'enfance traverse une crise profonde, est-il légitime de penser que la participation des parents puisse améliorer le fonctionnement global du système ? N'est-elle pas davantage considérée comme un problème supplémentaire par et pour les professionnels du terrain, comme une contrainte législative pesante qu'on tente malgré tout de respecter en la contournant parfois ? Cette évolution en faveur des parents pose-t-elle un problème ? À travers un état des savoirs sur les questions relatives à la participation et à la place des parents en protection de l'enfance, cet ouvrage analyse les discours des professionnels qui accueillent les enfants dans les établissements. Comment perçoivent-ils les parents ? Comment leur permettent-ils de participer à l'éducation de leur enfant ? Cet ouvrage montre qu'un terrain d'entente reste à trouver entre les parents et les professionnels. La reconnaissance des parents passe en partie par le respect de l'autorité parentale. Les éducateurs y sont sensibles ou s'y sentent contraints. Mais cette approche ne suffit pas à réduire le décalage entre les deux parties, comme si travailleurs sociaux et familles n'appartenaient pas aux mêmes mondes.