Des peintures anciennes ou contemporaines pour se familiariser avec les formes géométriques simples.

200 oeuvres issues de plus de 70 musées répartis dans toute la France sont présentées en quatre parties chronologiques. Chacune d'elles est commentée et analysée en fonction de l'évolution de la notion de chef-d'oeuvre qui s'est forgée au fil du temps.

De Lascaux à Frida Kahlo, et si les plus grands chefs-d'oeuvre de la peinturenous dévoilaient leurs secrets ?Grâce à Vincent Brocvielle, vous ne les verrez plus de la même façon !Que révèlent les figures colorées ornant les tombeaux égyptiens ?Comment déchiffrer les motifs énigmatiques des fresques médiévales ?De quelles obsessions La Joconde de Vinci est-elle le fruit ?Que cachait Artemisia Gentileschi pour représenter une telle violence dans ses oeuvres ?Que révèle d'Hokusai la série des Vues du mont Fuji ?Quelles étaient les motivations secrètes de Courbet, Manet ou Van Gogh ?Pourquoi Picasso a-t-il subitement changé de technique avec Les Demoiselles d'Avignon ?Quelles blessures les peintures de Frida Kahlo dévoilent-elles ?Qui se cache vraiment derrière les plus grands chefs-d'oeuvre de l'art ? Les restaurations successives, les correspondances intimes et les journaux ont fait surgir des détails qui nous en apprennent toujours davantage sur les créations. Car ces peintures réservent bien des surprises. Elles révèlent les passions secrètes, les peurs et les obsessions des artistes. C'est en comprenant ce qui les anime, leurs rêves, leurs craintes, leurs amours, que leurs plus grandes toiles semettent à nous raconter une autre histoire, leur vie secrète.

Alain Korkos nous raconte des anecdotes passionnantes et insoupçonnées pour nous faire entrer dans le monde de la peinture par une porte dérobée. La représentation de l?enfance accompagne l?histoire de la peinture depuis le Moyen Âge. Des tableaux d?église aux tableaux de Salon, les artistes ont brossé tous les visages de l?enfance : enfants divins de la peinture religieuse ou mythologique, petits princes de l?art de cour, enfant modèle du portrait de famille. Sans oublier toutes les autres figures de l?enfance qui n?ont pas moins intéressé les artistes : petits gueux et bâtards, enfants surnaturels ou démoniaques, cancres et révoltés... Cette place dévolue à l?enfance conduit à s?interroger sur les fonctions mêmes de l'art pictural. Sujet incontournable, la représentation de l?enfant est une grande question pour l?histoire de l?art. Dans ce beau livre illustré, nous allons découvrir, chronologiquement, l'histoire des enfants qui ont fasciné les peintres, de Veronese à Picasso en passant par Berthe Morizot. L'auteur pose une question qui éveille la curiosité et répond en pointant des détails qui mettent en évidence l'intérêt de l'?uvre et son originalité. Il explique pourquoi elle a marqué l'histoire de la peinture, dans un style abordable par les plus jeunes. Sommaire : Autoportrait de Durer, La Madone Sixtine de Raphaël, Alice Liddell déguisée en mendiante de Lewis Carroll, Le Petit Chaperon Rouge de Albert Anker, L?Enfant et sa tante de Paul Klee, La partie de cartes de Balthus, La Guerre d'Henri Rousseau, Le jugement de Salomon de Nicolas Poussin, etc... Alain Korkos écrit des nouvelles, des romans, anime des ateliers d'écriture et d'illustration et fait des conférences d'histoire de l?art. Il est l?auteur de Petites Histoires de chefs d'oeuvre paru en 2011. Il vit au Perreux.

Présente vingt oeuvres d'artistes (P. Klee, W. Kandinsky, K. Malevitch, R. Magritte, J. Miro, K. Haring, etc.) et confronte chacune d'elles avec une version de la peinture déconstruite et réorganisée selon une contrainte particulière (éléments classés par taille, par couleur, par forme). Incite à réfléchir sur le sens d'une oeuvre. Prix Sorcières 2004, catégorie documentaires.

Découverte de dix tableaux mettant en scène un animal à observer à travers un jeu de découpes.

Le De Pictura de Leon Battista Alberti (1404-1472) est le texte fondateur de la peinture occidentale moderne. Savant, peintre, architecte, défenseur de la rationalité et figure centrale de la première Renaissance, Alberti réunit en un court traité le savoir de ses amis florentins : Brunelleschi, Donatello, Ghiberti... En trois parties qui sont comme autant de recouvrements successifs du panneau ou de la fresque, Alberti instaure par delà les recettes d atelier quelque chose comme un protocole de la peinture. Sous sa plume, le tableau devient alors la fenêtre à travers laquelle on contemple, non le monde, mais une histoire. Les tensions qui parcourent ce texte statut de la couleur, physique ou symbolique ; prélèvement réaliste ou figures idéales ; efficience de la lumière ; ambivalence de la surface en tant qu aplat et profondeur traverseront toute la pratique de la peinture jusqu à la rupture du XIXe siècle (Delacroix, Manet, Cézanne). Jean Louis Schefer, écrivain et théoricien, auteur d ouvrages sur saint Augustin, Uccello, Corrège et Le Greco, procure une traduction qui obéit aux exigences scientifiques modernes (l original figure en regard) sans pour autant sacrifier l ample mouvement de la syntaxe latine.

Vingt-cinq thèmes philosophiques, illustrés par autant de chefs-d'oeuvre de la peinture, ou vingt-cinq tableaux regardés à travers autant de thématiques.