Une étude consacrée à la série policière de Jean-François Parot nourrie d'entretiens avec l'auteur. Elle met en avant le romanesque documenté de l'histoire, l'imaginaire sombre du polar et la dimension éthique du roman de vie.

Fruit d'une résidence au centre d'art Caza d'Oro, en Occitanie, une réflexion critique et éthique autour des liens entre l'art contemporain et l'écologie, à partir d'une recherche sur le travail d'une vingtaine d'artistes internationaux sensibles aux questions environnementales. L'art écologique, l'éco-création, le recyclage, la permaculture et l'éco-architecture font partie des sujets analysés. ©Electre 2024

Ce guide permet d'identifier plus de 120 saints souvent représentés dans l'art sacré avec pour chacun, les éléments visuels qui permettent de le reconnaître.

Etude sur la présence de la magie et de la sorcellerie dans l'art italien de la Renaissance, ayant pour point de départ la mise au jour d'un décor peint réalisé vers 1585 au plafond de la chambre du cardinal de Médicis, qui représente des figures féminines regroupant les attributs des planètes et des muses ainsi que les signes du zodiaque. L'exemple du palais Schifanoia alimente cette réflexion.

L'ouvrage fait suite au premier publié, L'Éloge du quotidien, (Essai sur la peinture hollandaise au XVIIe siècle) publié en « Points Essais », en 1997. Il s'agit de retracer la découverte de l'individu et de sa représentation. À partir du XVe siècle, les hommes considèrent que non seulement la vie sur terre vaut la peine d'être vécue mais aussi d'être représentée et peinte. Il s'agit donc de donner à voir le monde tel qu'il est, dans son individualité, et surtout au travers de ses individus. La représentation de l'humain est donc de moins en moins codifiée et ce sont des hommes et des femmes tels qu'on les rencontre en sortant de chez soi qui sont dorénavant représentés. En même temps, le divin s'humanise : Jésus et les saints ressemblent à des hommes ordinaires. C'est l'idée de la beauté qui se trouve modifiée sous le coup de cette individualisation de la représentation : le beau n'est plus un concept universel mais il s'incarne en chaque homme et chaque chose, dans leur indépassable singularité. Le texte est stimulant et immédiatement accessible et permet de comprendre comment l'idée de l'individu s'est peu à peu construite, en parcourant l'époque et les tableaux les plus connus de la peinture flamande.