Depuis ses débuts en 1975, à l'âge de dix-neuf ans, Ferdinand Guiraud croque les politiciens dans "Le Canard enchainé" avec une verve inégalée et sous toutes leurs facettes, que ce soit pendant les septennats, les quinquennats, qu'ils penchent à droite, à gauche, aux extrêmes, n'hésitant pas à les placer dans des scènes revisitant les chefs-d'oeuvre de l'histoire de l'art, et dans toutes sortes de parodies. C'est dans un bistrot du 14e arrondissement de Paris qu'il nous a conviés.

Derrière le ravissement qu'elles suscitent, les "Quatre Saisons" recèlent une signification symbolique et un sens politique subtils.