Dans son autobiographie professionnelle, l’animateur du site Fipeco fait montre d’une inégalable expérience des finances publiques, ce qui donne tout son poids à son pronostic d’une crise future.

Sale temps pour les pauvres. Victimes collatérales de la une trop longue période de chômage. Leur sanction? Devenir mobilisation générale pour le plein-emploi, ils sont dans le encore plus pauvre. Pour les obliger à reprendre un boulot, on collimateur du gouvernement. Et tous ceux qui sortent du n'a rien trouvé de mieux à faire que d'accentuer leurs difficultés, rang sont sévèrement réprimandés. Leur faute? Ne pas accepter en réduisant leurs allocations, voire en les supprimant.

Alors que les projets du Nouveau programme national de renouvellement urbain sont en phase de réalisation malgré des incertitudes, l'avenir de la rénovation urbaine est en jeu et les bases d'un « Anru 3 » doivent être posées. Les acteurs souhaitent un engagement de l'Etat. Quelques données chiffrées.

François Bayrou se revendique de l'esprit de réconciliation du roi Henri IV. Mais pas certain qu'il plébiscite la politique économique interventionniste menée par ses ministres Sully et Laffemas.

Le gouvernement français prévoit de présenter sa politique budgétaire d’ici au 14 juillet, avec pour objectif principal la réduction du déficit public à partir de 2026 et pour les années suivantes. En 2024, le déficit public s’élève à 5,8 %, qualifié d’« année noire » et « chaotique » par la Cour des comptes, qui insiste sur la nécessité de réduire ce déficit.

En 2024, les dépenses des collectivités locales ont augmenté de 3,6 % en volume, atteignant 327 milliards d’euros, un chiffre bien supérieur à l’objectif de la loi de programmation des finances publiques (LPFP) pour 2023-2027, qui fixait une hausse maximale de 0,5 % par an. Déjà en 2023, cet objectif n’avait pas été respecté. Cette progression s’explique par plusieurs facteurs.

Le premier président de la Cour des comptes n'est pas un adepte de la tronçonneuse. Mais il n'aime pas plus la pelle, dont les gouvernements abusent pour creuser les déficits.

L'ancien président de la Banque centrale européenne alerte : face au péril budgétaire, le gouvernement Bayrou doit agir, et vite.