Depuis la pandémie de Covid-19, la productivité de l’économie française a chuté. Une situation inédite dans notre pays qui se distinguait jusqu’alors de ses voisins justement par son efficacité productive élevée. « La faute aux salariés fainéants ! », se hâtent de conclure certains. Loin de là ! Les entreprises, qui investissent de moins en moins, sont en cause, ainsi que de nombreuses politiques publiques qui ont réduit, ces dernières années, notre capacité à produire collectivement de la richesse.

Avec une croissance à 3 % et des politiques sociales ambitieuses qui portent en partie leurs fruits, l'Espagne se porte mieux que la majorité de ses voisins européens. Cependant, de gros points noirs subsistent. Détails. Quelques données chiffrées.

Le président de l'OFCE affiche son inquiétude quant à la dynamique de la dette publique du pays. Pour maîtriser le déficit, il faudra en passer par de douloureuses baisses de dépenses et par des hausses d'impôts, selon lui. Détails. Quelques données chiffrées.

Alors que le "distanciel" fait partie de la vie d'un quart des salariés, certains employeurs souhaitent renégocier les accords d'entreprise pour reprendre le contrôle de leurs troupes. Aux Etats-Unis, la plupart des cadres sont déjà priés de revenir au bureau. Est-ce la revanche du "présentéisme" ? Sommaire. Stop ou encore ? "Les femmes ne télétravaillent pas dans les mêmes conditions".

Conceptualisé dans les années 1980, il mérite un regain d’intérêt en ces temps où tout le monde reste collé à sa chaise de bureau. Article extrait de "The Economist". Pas de chiffres.

Pas sûr qu’un pacte suffise à apaiser la colère. Pour faire oublier le passage en force sur les retraites, Emmanuel Macron tente de reprendre la main. Pas de « grand débat », ni de « convention citoyenne » cette fois-ci. Mais « un nouveau pacte de la vie au travail ». Sur le papier, l’idée a de quoi séduire : depuis la pandémie, les Français ne sont plus prêts à travailler dans n’importe quelles conditions. Et le rejet d’un travail usant et vide de sens a contribué à alimenter la contestation contre la réforme des retraites.

Pour la sociologue, les attaques populistes contre la protection sociale trahissent l'adhésion à un modèle néolibéral dépassé.