L'hydroélectricité individuelle séduit de nombreux particuliers mais scandalise les associations de protection de l'environnement.

Les hippopotames ne vivent plus dans le Nil, comme à l'époque de l'Antiquité. Ils passent le plus clair de leur temps dans les lacs et les rivières d'Afrique, à l'abri du soleil cuisant.

Le retrait des glaciers, qui s’est accéléré ces dernières décennies en raison du changement climatique, risque de provoquer l’extinction de certaines espèces rares vivant dans les cours d’eau de montagne, lorsque ces rivières glaciaires voient leur débit diminuer. Tel est le constat d’une étude menée pendant cinq ans en Équateur

Sur les rives des cours d'eau irriguant l'Amazonie brésilienne, la population, regroupée sous le terme de "ribeirinhos", vit de peu, dans un milieu à la fois fertile et hostile. Un savoir-faire qui intéresse les chercheurs.

La question fait dissensus. "L'Obs" a ouvert ses colonnes à Yves Giraud, le directeur d'EDF Hydro, la filiale hydroélectrique de l'énergéticien et à Jacques Pulou, pilote du réseau Eau de France Nature Environnement Auvergne Rhône-Alpes. Pour le directeur d'EDF Hydro," les barrages sont le plus possible intégrés à leur milieu naturel". Jacques Pulou lui oppose qu'on "massacre des rivières grâce à l'aide publique !".

Les installations hydroélectriques fournissent la moitié de notre énergie renouvelable. Or EDF est tenu d'abandonner leur gestion à la concurrence. L'opérateur national s'inquiète, les associations environnementales aussi.

L'Okavango est un fleuve atypique qui ne se jette pas dans l'océan, mais se perd dans un désert. Son delta intérieur, qui se situe au Botswana, constitue durant la saison des inondations un refuge. Sommaire. Prodigieux delta. L'antilope funambule. Protection rapprochée.