La mondialisation de l'économie et le développement subséquent d'une compétition économique internationale très vive, contraignent les entreprises à rechercher en permanence comment améliorer leur compétitivité sur les marchés mondiaux.

La Chine possède désormais l'ordinateur le plus puissant au monde, dépassant l'Europe, le Japon et surtout les Américains, maîtres jsuque-là de cette technologie de pointe. Mais la compétition continue car les enjeux sont énormes !

En dépit des admonestations américaines, les armées en Europe font les frais des disettes budgétaires : des programmes sont différés ou abandonnés, des pans entiers de souveraineté sont passés par pertes et profits, des alliances industrielles - comme celle qu'ambitionnaient de nouer le franco-allemand EADS et le britannique BAE Systems pour contrer Boeing - se révèlent impossibles. En France, les états-majors redoutent que la défense devienne une « variable d'ajustement budgétaire », estimant en être arrivés à un plancher « historiquement bas ».

Pour mettre la main sur une tunique de Pétrarque, les archives de Jacques Derrida ou un livre érotique du XVIIe siècle, les grandes institutions sont prêtes à tout. Enquête.

Nul espoir de relever les défis écologiques sans la future première puissance mondiale. Mais la Chine, qui s'impose déjà dans la course aux technologies vertes, pourrait y être forcée par l'ampleur des problèmes environnementaux que provoque son modèle de développement.

Pour attirer les investisseurs en Inde, le premier ministre Narendra Modi propose d'accroître la flexibilité du travail. Comme le montre l'importante grève de 2011-2012 chez Maruti Suzuki, l'affaire n'est pas complètement jouée. Solidarité entre précaires et titulaires, renouveau syndical : les jeunes travailleurs résistent et bouleversent le répertoire traditionnel de la lutte en usine.

Les batteries des futurs modèles du groupe devaient être fabriquées dans les Yvelines. Carlos Ghosn a finalement choisi de les acheter au sud-coréen LG Chem...

Analyse avec quelques données chiffrées de l'influence économique grandissante de la Chine sur l'Europe, alors même que la Grèce bénéficie, en 2010, d'un soutien chinois majeur pour résoudre ses difficultés. Une pénétration des marchés européens qui passe par une multiplication des implantations et des investissements chinois sur le Vieux Continent, ou bien par des transferts de technologie aux bénéfices de la Chine.

Lumière sur le projet Atmea, un réacteur nucléaire de troisième génération créé par l'énergéticien Français Areva (énergie nucléaire et renouvelables) avec le spécialiste de la construction mécanique japonais Mitsubishi Heavy Industries (MHI) réunis dans une entreprise commune éponyme, et qui fait l'objet d'une brouille avec le groupe d'électricité français EDF. Ayant coûté 3,5 milliards d'euros d'investissement, Atmea se destine en grande partie au marché chinois (où se développent plus qu'ailleurs l'installation de centrales nucléaires).

Retour, en 2012, sur le déclin du groupe volailler français Doux, qui est un exemple des effets de la mondialisation sur les acteurs de ce secteur. Le groupe a connu des débuts prometteurs au Brésil en anticipant la disparition annoncée des aides européennes à l'exportation. Mais c'était sans compter sur la force et la stratégie du géant brésilien JBS face auquel le modèle économique de Doux n'a pas fait le poids. La société brésilienne est ainsi devenue un des leaders mondiaux de la viande en rachetant des abattoirs dans le monde entier.

Baisse des investissements publicitaires par les marques en France au cours des dernières années. Depuis 2012, le marché a ainsi perdu 1 milliard d'euros de recettes. Après avoir connu des années fastes, les agences se retrouvent mises en concurrence par les annonceurs, qui n'hésitent plus à faire pression sur les prix et à négocier les budgets publicitaires. Entraînées dans une spirale déflationniste, les agences cherchent à remonter la chaîne de valeur en s'insérant plus en amont dans la stratégie commerciale de leurs clients.