Le sang d'un ver de sable, qui fixe 40 fois plus d'oxygène que le nôtre, a permis la mise au point par une start-up, Hemarina, d'une molécule au potentiel énorme, notamment pour les greffes.

Comment cartographier les circuits neuronaux et identifier leur fonction avec une précision inégalée ? En utilisant le virus de la rage !

L’idée est apparue au fil du temps, en croisant une expérience personnelle de motocross et de piste avec des histoires de vie de cross men ou women, toutes marquées par des événements de vie bouleversants ou traumatiques chez la majorité d’entre eux, et en observant les bénéfices que cette pratique avait pu avoir sur eux. Pour Hubert Ripoll (2016), psychologue, spécialiste de psychologie du sport, il existerait un lien entre le champion et le travail de résilience.

Plus d’un Français sur quatre consomme des anxiolytiques, des antidépresseurs, des somnifères ou d’autres psychotropes. L’état psychique de la population a été aggravé par deux ans de pandémie, et pourrait empirer face aux menaces liées au climat, à l’accès aux ressources et aux inquiétudes géostratégiques. Comment réagir face à ces enjeux ? En investissant massivement dans un secteur psychiatrique en souffrance, souligne Antoine Pelissolo.

Dans la célèbre série télévisée, le docteur House (alias Hugh Laurie) joue le rôle d’un spécialiste de médecine interne. Douze ans après le tournage du dernier épisode, on est frappé par les progrès accomplis dans cette branche spécifique de la médecine. Y aurait clairement matière à relancer l’histoire.

Et si on pouvait soigner la dépression, l'anxiété et d'autres pathologies mentales avec la MDMA ou des champignons hallucinogènes ? L'idée n'est pas nouvelle, mais elle fait actuellement l'objet d'un regain d'intérêt, notamment du côté de la tech et de la Silicon Valley, qui ont décidé d'y injecter des centaines de millions de dollars. Posant la question : vrai espoir médical ou nouvelle idée business ?