L’Union européenne ne peut plus se contenter de critiquer mollement la politique de l’Etat hébreu, se désole ce célèbre éditorialiste israélien très marqué à gauche.

Se méfiant des partis juifs israéliens de gauche et craignant les plans de la droite à leur égard, les Arabes israéliens ont massivement voté, le 2 mars 2020, pour élire leurs propres candidats.

Alors que le nombre de contaminés ne cesse de croître parmi les juifs religieux, une minorité parmi eux continue de s’exposer au virus, s’indignent les médias, israéliens comme étrangers.

Une coalition de droite et de centre droit va apaiser la vie politique israélienne, même si son programme est néfaste pour les Palestiniens. Mais elle risque d’imploser à la première crise, craint "Ha’Aretz".

Le projet du gouvernement israélien d’annexer une grande partie des territoires palestiniens en Cisjordanie soulèvera-t-il plus que de simples protestations de la part de la communauté internationale ? Ce journaliste israélien en doute.

Inédit en France, le documentaire israélien "The Viewing Booth" explore nos réactions devant des vidéos sur la Palestine occupée. Des images peuvent-elles changer notre vision du monde ?

En Israël, les Palestiniens sont toujours perçus comme une menace. Tout comme les Noirs l’étaient dans les années 1960 pour la gauche américaine.

Ils sont universitaires, écrivains, artistes, directeurs d’ONG, tous bien marqués à gauche. Ils ont milité pour la paix et ont payé le prix de leur engagement. A présent, désespérés par l’évolution d’Israël, ils prennent le chemin de l’étranger, mais refusent de se considérer comme des exilés politiques.

Pour pousser les Palestiniens à quitter la Ville sainte, les Israéliens leur accordent rarement de permis de construire. Et tout logement bâti sans permis devra être démoli par ses propres occupants, explique le site libanais "Daraj".

Jamais encore un artiste arabe israélien n’avait exposé en solo au musée d’Israël, à Jérusalem. Raida Adon est la première. Elle explore le drame des réfugiés, en Palestine et ailleurs.

Sans faire la moindre concession sur la question palestinienne, le Premier ministre israélien a réussi à se réconcilier officiellement avec un pays arabe pétrolier, explique ce quotidien de centre gauche.

La ville israélienne veut profiter d’une dynamique régionale favorable pour éclipser Beyrouth et devenir la courroie de transmission entre la Méditerranée et le Golfe, écrit ce quotidien libanais.