Einstein avait raison ! Encore fallait-il le prouver. Au début du XXe siècle, des scientifiques comme le Britannique Arthur Eddigton avaient tant à coeur de vérifier la théorie de la relativité qu'ils ont tout mis en oeuvre pour que leurs expériences soient probantes. Si d'erreurs en manipulations, ils sont parvenus à prouver Einstein, ils ont aussi démontré que l'on peut faire dire beaucoup de choses à la science.

Le monde scientifique n'a découvert l'existence de Garrett Lisi que l'hiver dernier : jusqu'alors inconnu, le physicien américain venait de proposer une nouvelle théorie du tout, concurrente de la théorie des cordes.

Un bateau qui vogue, une pierre qui tombe, et le monde est bouleversé. Car, grâce à ces deux images, Galilée élabore une nouvelle vision des phénomènes physiques, exposée dès 1632 dans son Dialogue sur les deux grands systèmes du monde. Il pose ainsi les bases de notre vérité scientifique actuelle : la théorie de la relativité !

Il y a tout juste un siècle, en 1911, le physicien néo-zélandais Ernest Rutherford découvrait le noyau de l'atome. Cette découverte résulte d'un étonnant concours de circonstances...

De 1903 à 1905, des scientifiques français de renom sont victimes d'une hallucination collectives, croyant avoir fait une extraordinaire découverte.

Après avoir étudié les systèmes déterministes au comportement chaotique, qui semblent évoluer aléatoirement et de façon imprévisible, les physiciens apprennent à les contrôler.

Zébrures lumineuses dans les piscines, scintillement des étoiles, interruptions des signaux du système GPS : le mécanisme sous-jacent est le même.

Malgré leur diversité, les ondes constituent un phénomène physique universel. Leur description et leur compréhension sont liées aux grandes avancées de la physique et des mathématiques.

Certains véhicules à propulsion éolienne remontent le vent de face... et, en vent arrière, vont plus vite que lui !

Ces particules passe-muraille sont devenues un outil pour sonder les profondeurs de la Terre et comprendre comment notre planète produit de la chaleur. Elles seraient aussi utiles pour surveiller les centrales nucléaires.

On calcule les probabilités des processus impliquant les particules élémentaires à l'aide de diagrammes dits de Feyman. Une nouvelle méthode simplifie ces calculs et remet au goût du jour certaines théories unificatrices.

Mettant à profit l'électricité produite par le frottement, de petits émetteurs portables de rayons X seront bientôt disponibles.