Des historiens, des anthropologues, des sociologues et des médecins décrivent les mutations historiques des relations entre les vivants et les défunts puis analysent les différentes manières de faire société autour de et avec la mort. Ils présentent les évolutions et les constances anthropologiques ainsi que la prise en charge de la fin de vie et de la mort à l'aune de l'interventionnisme médical. ©Electre 2022

Fondé sur l'expérience de l'auteur dans l'accompagnement des personnes malades ou en fin de vie au sein de structures médicalisées, cet ouvrage interroge la manière dont l'approche de la fin est prise en charge par les soignants, dans le contexte d'une société qui tend à occulter la mort. Des pistes sont proposées pour mieux réaliser cet accompagnement délicat et diverses situations sont décrites. ©Electre 2023

La mort est abordée dans ses différents aspects : biologique, social et mémoriel. ©Electre 2023

L'auteur s'appuie sur ses connaissances des sociétés antiques et primitives pour appeler à résister face au capitalisme qu'il accuse de pousser la société à fuir les aspects tragiques de la condition humaine tels que la mort et la maladie. Il préconise l'élaboration d'une nouvelle culture fondée sur l'acceptation de notre mortalité. ©Electre 2019

C'est le coup de fil que l'on redoute. “Papa est à l'hôpital, il ne va pas bien du tout”. L'appel qui pétrifie car il nous rapproche d'une de nos plus grandes craintes : celle de la mort. La mort est le point final qui ne saute personne et qui nous met tous à l'amende, peu importe d'où l'on vient ou ce que l'on a fait de notre vie. On la voit toujours comme la plus grande tragédie humaine : elle est inévitable, elle n'est pas juste, elle nous fait peur… et c'est bien normal.Cette fatalité et cette errance infinie vous angoissent peut-être, mais pour moi, Taous Merakchi, alias Jack Parker, il est incroyablement rassurant de savoir qu'un jour tout prendra fin ; cela donne du sens à ma vie et du poids à mes actions. Plutôt que de faire l'autruche, j'ai choisi de regarder la mort en face et de briser le tabou qui l'entoure. Alors bien sûr, je souffre de son existence et de son impact sur mon entourage. Mais j'ai trouvé un vrai réconfort en l'étudiant, en la théorisant ; et c'est en décortiquant le deuil, les rites funéraires à travers le monde, les différentes croyances, les fantasmes autour de la mort que je voudrais vous aider à l'apprivoiser à votre tour… et à ne plus en avoir peur !Remontons le Styx ensemble.

Dans nos sociétés, la mort reste souvent un sujet tabou qui donne froid dans le dos, qui fait peur, alors qu'en d'autres temps et sur d'autres continents, elle a eu une aura mystérieuse et fascinante ou n'est pas vécue dans la tristesse. Cet "Essentiel Milan Junior", par une triple approche -historique, géographieet psychologique-, va te montrer que la mort fait partie du cycle de la vie

Cette nouvelle édition de Mourir, augmentée de trois textes consacrés aux conditions, situations et temporalités des mourirs dans les sociétés occidentales (post-)modernes, répond aux nombreuses interrogations actuelles sur la vieillesse, la fin de vie, l'euthanasie, le suicide assisté, l'auto-suicide, etc. Que signifie mourir aujourd'hui, à l'heure de la mort-spectacle et des tueries de masse, à l'heure du mercantilisme thanatocratique et des divers services d'aide aux mourants, à l'heure où se déploient de plus en plus de stratégies d'évitement, de dissimulation, d'escamotage de la mort? De quel mourir est-il question dans une société qui bureaucratise, marchandise et numérise le vivre ?