Après avoir parcouru plus de 19 000 km à pied pour son tour du monde, Paul Salopek arrive en Chine et découvre la vie d'avant les mégapoles et les usines d'iPhone.

Des chercheurs de l'université du Wisconsin (États-Unis) ont cartographié les zones de cohabitation entre les humains et la nature, soit les espaces recouverts par au moins 50 % de végétation sauvage et comptant plus de 6 bâtiments/km2. Ces interfaces ne cessent de croître, ce qui peut engendrer des conflits environnementaux.

Le cosmographe Maxime Blondeau nous invite à un éveil, aussi poétique que scientifique, de notre représentation géographique du monde.

Une équipe internationale de chercheurs vient de cartographier pour la première fois les migrations humaines dans le monde entre 2000 et 2019. Pour cela, ils ont calculé les fluctuations de population dans chaque pays tout en y retranchant les naissances et les décès. Résultat: les migrations ne cessent d'augmenter année après année et les causes semblent surtout socio-économiques.

C’est dans les steppes eurasiatiques, le monde interconnecté par les Mongols, que l’épidémie se met en marche, probablement dans les années 1330. Les découvertes de l’archéologie et de la génétique nous permettent aujourd’hui de réinterpréter les textes et les effets sur les sociétés de l’épidémie la plus mortelle de l’histoire. Sommaire. Peste noire, itinéraire d’une tueuse. Peste noire : combien de morts ? Comment elle est devenue noire. La Chine a-t-elle été épargnée ? Plongée dans les sources chinoises. Islam, la huitième plaie d’Égypte. La grande peur de la contagion.

Même si la population mondiale continue d’augmenter, la Terre a de l’eau pour tout le monde. Du moins en théorie. Le grand défi étant depuis toujours la bonne gestion de cette ressource fragile et précieuse, inégalement répartie, trop souvent gaspillée, voire souillée.

Loin de représenter la marche inéluctable du progrès, l'émergence des premières cités-Etats résulterait de l'instauration d'un régime de servitude fondé sur la monoculture céréalière. Telle est la thèse peu orthodoxe développée par l'anthropologue James Scott.

C’est une idée reçue tenace depuis le XIXe siècle, celle qui fait de la Gaule une seule et grande nation. Sur notre territoire cohabitaient en réalité une myriade de peuples, qui ont marqué nos régions d’une empreinte étonnamment visible. Sommaire.Cent peuples à la carte. Qu’est-ce donc que la Gaule ? Provence et Alpes. L’influence de la Grèce et de Rome. Centre et Languedoc. Un centre sous bonne garde. Ouest et Manche. Sur les terres et sur les mers. Bassin parisien et Nord. Au nord, l’union fait encore la force. Sud-Ouest. L’exception aquitaine. Est. Belges et Germains. En résumé.