Principal sponsor du pavillon français à l'Exposition universelle d'Osaka, le groupe LVMH multiplie les projets de développement au Japon.

Jusqu'en octobre, l'Exposition universelle d'Osaka accueille 160 pays autour du thème "Concevoir la société du futur". Les pavillons internationaux rivalisent d'ingéniosité pour montrer un avenir meilleur axé sur les préoccupations environnementales.

Alors que le gouvernement japonais entend profiter de la manne financière liée à son industrie culturelle, l'environnement régional et international se fait de plus en plus concurrentiel face à des pays comme la Corée du sud et la Chine.

Danya Yavhusishyn pourrait être un exilé ukrainien comme les autres, victime de la guerre que le Kremlin a déclarée à son pays. Ce jeune homme de 21 ans a cependant choisi un tout autre destin : devenir un des meilleurs sumotoris du monde.

Depuis mars 2023, Aki, un homme de 38 ans, tend l’oreille aux Tokyoïtes qui ont envie de parler. Les confessions qu’il reçoit reflètent les tourments de la société japonaise.

Plus que toute autre en Extrême-Orient, la culture japonaise, érudite comme populaire, fait une place privilégiée et originale à celle de la Grèce antique. Histoire d'une appropriation réussie.

En vingt ans, Japan Expo est devenu le premier événement consacré à la culture et aux loisirs japonais en Europe. Pour son vingtième anniversaire, ce rendez-vous désormais incontournable pour tout nippophile qui se respecte a voulu faire les choses en grand, avec trois invités d'honneur prestigieux : Leiji Matsumoto ("Albator"), Gô Nagai ("Goldorak") et Yoshiyuki Tomino ("Mobile Suit Gundam"). L'occasion unique d'aller écouter ces légendes du manga et de l'animation parler de leurs créations.

Fan de la première heure des oeuvres de Rumiko Takahashl, l'autrice Elsa Brants doit certainement en grande partie sa carrière dans le manga à la créatrice d'"Urusei Yatsura", "Ranma 1/2", "Maison Ikkoku", ou plus récemment "Rinne". Durablement marquée par les anime japonais de son enfance, Elsa Brants achète ses premiers mangas en version originale non sous-titrée - des livres de Takahashi, cela va de soi -, avant de se lancer elle-même dans le grand bain. Elle est notamment à l'origine de la série "Save me Pythie", de même que de "Par le pouvoir des dessins animés", parus chez Kana.

Elles ont choisi de combattre les vieilles croyances qui voulaient leur interdire de faire carrière, de faire rire, voire de fabriquer du saké ! À mille lieues des stéréotypes, les Japonaises que nos reporters ont rencontrées bousculent les codes traditionnels.