C'est le berceau millénaire de notre culture, et de bien d'autres... Mais aujourd'hui, sa situation géographique particulière lui vaut d'être au premier rang des victimes à venir des événements climatiques extrêmes, comme le détaille l'étude de 49 sites majeurs classés à l'Unesco.

Même le locataire de la Maison Blanche a du mal à le nier. Avec son été caniculaire, ses incendies monstres, ses tempêtes et ses inondations, 2018 s'est évertué à prouver la réalité du réchauffement climatique. Une victoire amère pour les climatologues, déprimés d'avoir eu raison. Mais bien décidés à redoubler de pédagogie pour que chacun passe du constat à l'action. Sommaire. Des astres au désastre. Climat de rébellion. Meurtre dans un jardin français. Les fragiles gardiens d'une terre en péril. Rendez-vous manqué. Trois vers, bonjour les débats. Flagrant déni. Elle rêvait d'une autre mode.

On y produisait de la bière ou du schnaps. Mais du vin ? Impensable ... La hausse des températures est en train de transformer la Suède en pays viticole. Aujourd'hui, 250 vignerons y cultivent des cépages capables de capter le moindre rayon du soleil. Des passionnés qui comptent très vite rivaliser avec les grands crus. A condition que le climat ne s'emballe pas davantage.

Nucléaire, glysphosate, bio, OGM... Ce que dit la science sur ces sujets clivants, où l'idéologie l'emporte souvent sur la rationalité. Sommaire. Comment le glyphosate intoxique les débats. OGM : "Le génome n'est pas un texte sacré". Manger bio pour être en meilleure santé ? Oui, mais... Réchauffement climatique : "Chaque demi-degré compte". Ne jetons pas le nucléaire ! Le diesel carbure aux idées reçues. Faut-il arrêter de faire des enfants ? Le cauchemar d'Elise Lucet. Aurélien Barrau : "C'est la plus grande crise de notre Histoire".

A l'heure où l'Australie brûle, les scientifiques redoutent la multiplication de ces incendies monstres sur la planète.

Avec les dérèglements du climat, certains témoignages archéologiques refont surface. D'autres disparaissent. La vitesse parfois vertigineuse de ces bouleversements pourrait avoir un impact aussi bien sur notre patrimoine et nos connaissances historiques que sur les consciences politiques de certains peuples.

La jeune Suédoise, qui bataille pour que le monde prenne réellement conscience qu’il est temps d’agir pour limiter le réchauffement climatique, était au Royaume-Uni à la fin du mois d’avril. Son discours tantôt séduit, tantôt agace.

On crève de chaud... on va aussi crever de soif ! Des risques majeurs sont à prévoir sur la production nucléaire et le pouvoir d'achat des Français. Et ce ne sont pas les gadgets proposés par les municipalités qui feront baisser le mercure des thermomètres. Sommaire. C'est nous qui allons devoir changer. La France addict à l'eau. Pour survivre, les grandes villes devront s'adapter. Paris, ces "forêts urbaines" qui masquent le béton.

Un quart de la population mondiale pourrait bientôt manquer d’eau. Le chiffre du World Resources Institute publié début août s’ajoute à d’autres indicateurs inquiétants : le récent rapport du Giec sur l’impact de l’agriculture sur le réchauffement climatique et la confirmation, par l’agence américaine Noaa, que juillet 2019 aura été le mois le plus chaud jamais mesuré. De l’Arabie Saoudite au corridor sec du Honduras, du Pakistan à la Turquie, les pénuries d’eau forcent les migrations et nourrissent les conflits. Décryptage. Sommaire. Le pays de l'or noir en quête d'or bleu.

La métropole sud-africaine surveille le niveau des barrages comme le lait sur le feu. Et pour cause : elle pourrait se retrouver tout simplement à sec. Un tel scénario catastrophe a été évité de justesse l'an dernier, mais les autorités se préparent à gérer d'inévitables pénuries d'eau.

Dans la région de Murcie, la plus aride de la péninsule ibérique, la production agricole intensive s'étend. Sans anticiper les effets du réchauffement climatique, à rebours des recommandations du Giec.

La présentation du premier des trois nouveaux rapports du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) en plein mois d'août est passée sous les radars médiatiques. Pourtant, l'heure n'est plus aux discours mais aux actes... forts et collectifs. Pour mémoire, afin de respecter l'accord de Paris, la France doit réduire son empreinte carbone de 80 % par rapport à sa consommation actuelle. C'est beaucoup ! Mais impératif pour limiter le réchauffement climatique bien en deçà des 2 °C d'ici à 2100.