Alors que la COP21 s'ouvre au Bourget et à Paris au Grand Palais, nombre d'artistes s'engagent sur ce thème à l'actualité brûlante : l'environnement. Interventions spectaculaires, projets participatifs, nouveaux modèles de pensée... la solution viendrait-elle de la parole des artistes ?

Lorsque l'on veut économiser l'énergie dans une maison, les premières idées qui viennent à l'esprit sont le panneau solaire, ou bien la pompe à chaleur. Pourtant, concevoir une maison bioclimatique, commence par des considérations beaucoup plus simples, où le bon sens prime largement sur la technologie

Grâce à l'aquaculture, on pourrait à la fois offrir un bon niveau de vie à certaines populations et éviter la ruine des océans

En 1948, suite à la publication de deux ouvrages exposant les dangers d'une croissance irraisonnée, un large public, dans le monde entier, prend conscience de la complexité des questions environnementales.

Doubler la production alimentaire d'ici 2050 tout en réduisant la dégradation de l'environnement : selon une équipe internationale, cet objectif est accessible.

Une étude européenne a montré que la diversité génétique varie indépendamment de la diversité en espèces. Protéger la seconde ne suffit donc pas à protéger la première.

Les politiques de conservation de la biodiversité devraient accorder une place plus importante aux zones humanisées, en particulier aux agro-écosystèmes.

Médecin et explorateur des Pôles, Jean-Louis Etienne entretient un lien étroit avec le public scolaire pour sensibiliser les plus jeunes aux grandes questions environnementales.

Sans être pionnière, la doctrine sociale de l'Eglise catholique a progressivement donné toute sa place à la thématique écologique. Un événement ecclésial majeur de ces dernières décennies.

Réflexion philosophique, en 2012, de Bernard Feltz (biologiste et docteur en philosophie, professeur de philosophie des sciences du vivant à l'Université catholique de Louvain, Belgique) sur la crise écologique. Les réponses à la crise diffèrent selon que l'on considère la nature comme un objet, une ressource, un patrimoine vivant ou un ensemble d'espèces dont l'humanité fait partie. Plus largement, elles renvoient à différentes conceptions de la modernité, de la place de la science et de la raison.

Faut-il choisir entre la planète et l'emploi ? Pour l'auteur, la réponse est assurément négative. Chiffres à l'appui, il explique qu'accroître l'activité humaine (et donc le PIB) tout en diminuant l'empreinte écologique, c'est possible ! N'en déplaise aux décroissants.