Donald Trump voulait un sommet avec Vladimir Poutine. La conférence de presse de Helsinky durant laquelle Donald Trump a préféré affirmer sa confiance en la Russie plutôt qu'en ses propres services de renseignements restera comme un moment de stupéfaction pour de nombreux observateurs et officiels américains. Les services américains ont pourtant rassemblé des preuves indubitables. Cela pose de nouvelles questions sur la relation entre Trump et la Russie.

Les trouble-fêtes du Net, connus pour leurs piratages brouillons et spectaculaires, se sont mis en tête de venir en aide aux services antiterroristes du monde entier. Curieuse mission, à mi-chemin entre celle du lanceur d'alerte et celle du voisin zélé.

Le Web est la Terre promise de la nouvelle économie, mais reste aussi habité par l'esprit libertaire de ses origines.

En 2002, leur astuce a coûté des centaines de millions d'euros aux entreprises. Et pour 70 % des cas l'ennemi est dans la place.

Accusé, levez-vous ! Né dans les années 1970 aux Etats-Unis, hébergé par 20 millions de Français et plus de 1 milliard de terriens, le réseau des réseaux est soupçonné de vol en bande organisée, d'atteinte à la vie privée et de diffusion de fausses nouvelles.

La multiplication des sites Internet qui diffusent illégalement films et séries atteint Hollywood au portefeuille. Mais ni les Etats-Unis ni la France n'ont encore trouvé la parade.

Ils vivent cachés mais réclament plus de transparence. Ils pénètrent les sites informatiques de grands groupes industriels ou d'institutions. Ce sont des cybermilitants qui sont aussi parfois des cyberdélinquants.

Le ″cloud″ souverain qui prévoit un hébergement 100% français des données informatiques pourrait bénéficier de l'inquiétude suscitée par le scandale Prism.

Les initiés l'appellent le ″deep web″. C'est un réseau parallèle où les activités répréhensibles prospèrent. Au grand dam des policiers et des gendarmes. Plongé dans les abîmes de la cybercriminalité.