Cerise, une jeune Lyonnaise de 19 ans aux allures de Lara Croft, est l'une rare filles qui évoluent dans le milieu des hackers.

Internet est une malle aux trésors, on peut y télécharger des milliers de chansons et de films. Mais est-ce bien légal ?

Ils sont australiens, jeunes, d'une intelligence remarquable. Ils habitent des bourgades éloignées les unes des autres, ne se connaissent pas. Leur enfance fut douloureuse, leur adolescence ne conjure guère le mauvais sort. Ils s'ennuient. Seule lumière au tableau : l'ordinateur, qui devient vite un exutoire, à leurs détresses personnelles. En ces années quatre-vingt-quatre-vingt-dix, alors qu'Internet n'existe pas, des filles et surtout des garçons s'offrent des modems pour tromper le désoeuvrement.

Des flottilles d'avions sans pilote pourraient bientôt sillonner les airs, pour surveiller les feux de forêt, livrer des colis, réaliser des opérations de sauvetage, etc. Mais ces drones civils ont des failles de sécurité qui les rendent faciles à pirater.

Chaque appareil connecté est une cible potentielle pour les cybercriminels. Les gouvernements ne pourront sécuriser le cyberespace que si les particuliers sécurisent leurs propres équipements.

Il y a dix ans, le gouvernement américain a mis sur pied un réseau informatique totalement privé et anonyme. Aujourd'hui, c'est un refuge pour le commerce de drogues et la pédopornographie.

Vladimir Poutine est maintenant le problème de Donald Trump.

Le but des piratages russes repérés dès les élections primaires et plus tard lors de l'élection présidentielle de 2016 aux États-Unis n'était sans doute pas de modifier directement les résultats des élections mais de miner la confiance des électeurs et d'affaiblir la crédibilité du processus électoral.