Le projet de construire une bulle Center Parcs dans l'un des départements les plus froids de France fait débat entre pro-tourisme et pro-environnement. Reportage

Pour diversifier son économie, Gaborone a su tirer parti de son extraordinaire patrimoine naturel. Le pays, qui attire principalement des visiteurs aisés, veut maintenant élargir sa clientèle à la classe moyenne.

Le 25 novembre 2011, les législatives donnaient la majorité aux islamistes, qui promettaient de changer la façon de gouverner et de réformer le pays. Force est de constater que leur bilan n'est pas brillant. Sommaire. Le PJD est-il soluble dans la démocratie (éditorial). Grandeur et décadence. Immobilisme. Finance 100 % halal. Stratégie, nouveau plan marketing pour l'ONMT. Agence tous risques numérique. Quand le rap passe à la trappe. Pourquoi la cause des femmes patine (tribune).

« Mais où sont les neiges d’antan ? », se désolait François Villon à la fin du XVe siècle, pour évoquer le temps qui passe. « Nous les avons fait fondre », répondront les hommes du XXIe siècle, en parlant du manteau qui recouvre la montagne et son patrimoine humain et naturel. L’installation d’usines à ski sur les plus hautes altitudes a transformé le paysage, et l’activité humaine – à une échelle bien plus large que le seul écosystème montagnard – achève de le défigurer. Et pourtant, l’aspiration à la montagne ne se dément pas.

A l'horizon 2025, la première puissance économique de l'Uemoa veut accueillir cinq millions de visiteurs internationaux. Le ministre Siandou Fofana s'est inspiré du modèle marocain pour faire du secteur touristique la quatrième source de revenus du pays. En complément, l'interview du ministre qui déclare : "Nous visons le top 5 des destinations les plus visitées du continent africain".

Après avoir négligé ou détruit des pans entiers de son patrimoine historique, le royaume veut tirer de l'oubli Al-Ula, jumelle de la Pétra jordanienne, pour en faire la pépite d'un gigantesque complexe touristique.

S'il reprend peu à peu le chemin de la croissance, le pays doit encore faire ses preuves en matière de bonne gouvernance et miser enfin sur l'agriculture et l'essor d'un véritable green business écoresponsable. Sommaire. De la parole aux actes. PCT : la crise de la cinquantaine. Paix fragile dans le pool. "La cohésion sociale est restaurée". Bonnes graines. "Nos terres sont là, disponibles". Biocompatibilité gagnante. Seconde vague d'or noir. Produire plus, polluer moins. Sensations grandeur nature.

Pour combler son retard sur ses rivales espagnoles, la première station balnéaire marocaine du plan Azur s'attache à réduire l'effet de la saisonnalité.

Fort d'un bilan positif, il est le seul ministre sortant à être pratiquement assuré d'être reconduit dans le gouvernement qu'Eiyes Fakhfakh est chargé de former d'ici au 20 février 2020.

Malgré la réouverture du pays, les touristes restent rares dans la capitale. Leur absence est même devenue un argument pour les attirer !

Depuis son entrée dans l'Union européenne (UE) en 2004, la Slovénie mène des politiques environnementales actives. En développant une filière d'« apitourisme »,elle s'appuie sur une ressource inédite pour se faire connaître : une abeille, l'"Apis mellifera carnica" et son écosystème apicole. L'ancien pays yougoslave se démarque ainsi à l'échelle du continent, même s'il reste un petit producteur de miel par rapport à ses voisins européens.

Contrairement à la Thaïlande et à l'Indonésie dont l'activité touristique se caractérise par un nombre significatif de stations balnéaires majeures, le Timor oriental, ancienne colonie portugaise (1515-1975) puis indonésienne et indépendante depuis 2002, ne compte pas d'autre polarité touristique que Dili, la capitale, et le nombre de visiteurs internationaux à motivation de loisirs y est encore limité avec quelque 18 000 personnes par an.