Après un premier volet au quai Branly, l'Orangerie lève un peu plus le voile sur Félix Fénéon. Dandy, anar, et surtout figure essentielle de la modernité esthétique, tel apparaît Fénéon à l'issue de cette riche expo.

Une superbe exposition à la Tate Britain de Londres consacrée à William Blake présente une centaine d'oeuvres du poète et dessinateur adulé à toutes époques.

Ultra-prolifique, le trompettiste franco-libanais sort un 11e album studio, "S3NS", et renoue avec Oum Kalthoum le temps de quelques concerts. Rapport au continent, projets, procès... La star se confie.

Avec "I Made a Place", l'icône folk du Kentucky Bonnie "Prince" Billy livre des titres lumineux d'une tonalité optimiste. De l'americana inspiré par la culture hawaïenne sur lequel le temps n'a pas de prise.

Avec "Sacrées sorcières" la bédéiste adapte l'un des romans phares de sa jeunesse.

Cinq ans après "Contrepoint", premier album solo autour de l'oeuvre de Bach, le fondateur de Air revient avec "Concrete and Glass", un beau disque de variations instrumentales et vocales inspirées par l'architecture moderniste.

Avec "Le Lac aux oies sauvages", Diao Yin an signe un film noir ultra-contemporain situé dans une Chine hallucinée. Sa réalisation est tellement virtuose que beaucoup lui promettait le Prix de la mise en scène au Festival de Cannes. Rencontre.

L’ancien président américain revient, après la parution de ses "Mémoires", sur les lectures qui ont forgé l’homme qu’il est devenu, ses convictions et ses engagements. Un entretien mené par la célèbre critique littéraire du "New York Times" Michiko Kakutani.

Figure majeure de l'indie pop, Daniel Bejar, alias Destroyer, sort "Have We Met", un treizième album dystopique et synthétique. Rencontre avec un inventeur de sont qui livre là l'un des es meilleures performances vocales.

Ils vivent à 15 000 kilomètres l’un de l’autre et ne sont pas de la même génération. Mais entre le Français Nicolas Godin, moitié du duo électro Air, et l’australien Kevin Parker, du groupe psyché-pop Tame Impala, l’admiration est mutuelle. A l’occasion de la sortie, en ce début d’année 2020, de leurs albums respectifs, les deux hommes se sont rencontrés dans le studio parisien du premier, peuplé d’instruments vintage.

Oui. Trois ou quatre ans, c'est le rythme habituel. L'intervalle entre chaque album de Louis Chedid. La jolie réunion de famille, Louis, Matthieu, Joseph et Anna en 2015, succédait à un excellent opus réalisé... tout seul, "Deux fois l'infini" en 2013. Un nouveau disque était logiquement attendu et il arrive enfin, faisant preuve d'une fraîcheur remarquable.

Elle est l'indéfinissable. L'icône iconoclaste. Celle qui « ne se préoccupe jamais de plaire ou de déplaire ». Elle est l'artiste aux mille visages dont les oeuvres littéraires et musicales semblent n'avoir jailli de son esprit fécond et fantasque que pour mieux nous rappeler la toxicité du conformisme et de l'habitude qui, contrairement à ce qu'on pourrait penser, ne font pas office de bonheur... En complément de l'interview, l'article intitulé "Wolfgang Amadeus Mozart : "Le vrai génie sans coeur est un non-sens"."