Les experts commencent à l'affirmer, le réchauffement de la planète est une réalité. Conséquence : canicules à répétition, sécheresses. Et, plus surprenant, inondations massives. Enquête.

Les passages périodiques du système solaire à travers les bras spiraux de notre galaxie semble être à l'origine des grandes glaciations qui affectent la Terre tous les 143 millions d'années.

L'homme joue avec le feu. Depuis le début de l'ère industrielle, la pollution engendrée par ses activités a totalement bouleversé le climat. Quel sort pour la planète ?

Passées au crible de l'hydrogéologie, les plaies de l'Egypte et l'Exode perdent une partie de leur mystère.

Que nous réserve l'avenir sous le ciel européen : un réchauffement sans précédent ou un simple épisode climatique comme la Terre en a tant connus ?

Alors que le contrôle des émissions de CO2 dans l'atmosphère est difficile à mettre en place, une équipe américaine propose une autre solution pour lutter contre l'effet de serre.

Il y a dix ans, naissait un programme de recherche sur le rôle climatique des eaux froides de l'Antarctique.

La succession d'événements climatiques extrêmes, comme les orages et les tempêtes de 1999 en France, redonne une actualité à la question désormais récurrente dans le débat sur l'effet de serre : l'homme est-il en train de bouleverser l'équilibre terrestre ?

Dans l'Antarctique et au Groenland, des équipes internationales effectuent des carottages de glace qui permettent de retracer le climat terrestre sur les cent mille dernières années. Leurs résultats pourraient permettre de prévoir l'évolution climatique des décennies à venir.

Provocatrice et controversée, l'hypothèse d'une Terre entièrement gelée à la veille de l'ère primaire, il y a quelque 600 millions d'années, subit l'épreuve de la modélisation.

En décembre se tiendra à Paris la COP21, la conférence sur les changements climatiques qui réunira 195 pays. L'objectif ? Aboutir à un accord international pour contenir le réchauffement climatique à long terme en dessous de 2°C. Point de vue de Jean Jouzel, vice-président du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC).