Bien avant la période impériale, la ville disposait d'un bassin portuaire à Ostie, aujourd'hui enseveli, pouvant accueillir les navires de haute mer. Récit d'une découverte dans les sédiments du Tibre.

L'étude de la vaisselle de cuisine chez les Eduens nous renseigne sur l'évolution des pratiques culinaires après la conquête romaine : les modifications de la batterie de cuisine traditionnelle reflètent les nombreux contacts commerciaux entretenus par ces derniers avec le monde méditerranéen, facilités par l'importance de leur réseau de voies de communication.

Replacer les sacrifices et les festins qui s'ensuivaient dans l'espace du sanctuaire et dans la société qui les célébrait, tel est l'objectif de l'archéologie du sacrifice. L'étude des sacrifices sanglants et non sanglants a jusqu'à présent grandement été laissée pour compte dans la recherche archéologique. Les interrogations sont nombreuses, qui concernent le déroulement des sacrifices à l'autel et les pratiques de commensalité qui constituaient la phase ultime du sacrifice.

Deux opérations de fouille récentes ont permis la découverte d'une épave exceptionnelle de l'âge de Bronze, ainsi que de deux épaves romaines, en Istrie.

Il n'est pas rare que les archéologues découvrent, lors de fouilles archéologiques terrestres, des vestiges de bateaux à l'endroit où était situé un ancien bassin portuaire comblé. Ayant fait naufrage à la suite de tempêtes, emportés par des crues, abandonnés car trop vétustes ou bien réutilisés comme matériaux de construction, ces bateaux constituent des véritables trésors pour les archéologues spécialistes des navires antiques.

Lorsqu'un monument est découvert en fouilles, l'archéologue cherche à comprendre sa forme initiale et son utilité. Mais ce n'est pas toujours évident ! ″Arkéo″ te présente aujourd'hui un bâtiment qui recèle encore bien des secrets...

Le travail de l'archéologue s'apparente à une enquête policière : pour résoudre l'égnime qui se présente à lui, l'archéologue se pose des questions et rassemble des indices en faisant des fouilles.

Toujours cherché, jamais retrouvé. Et si le tombeau d'Alexandre le Grand était sous nos yeux ?

Anthropophages, nos ancêtres ? Nombre de scientifiques en sont convaincus. Reste à comprendre les raisons de cette pratique.

Font-de-Gaume, Les Combarelles, Les Trois-Frères, et bien d'autres... Cet homme d'église livre les secrets de ces grottes, devient titulaire d'une chaire au Collège de France et révolutionne l'histoire de l'art paléolithique...

2 000 chercheurs, 1 500 diagnostics et plus de 200 chantiers de fouille par an : l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) ne chôme pas et bouleverse, depuis plusieurs années, notre vision du passé.