D'une multitude d'entités en interaction émergent des structures complexes. Prédire la formation de ces structures, étudier la dynamique des entités liées entre elles, telle est l'essence de la science des systèmes complexes. Cette tradition de la complexité, née dans les années 1980 aux Etats-Unis, est issue de travaux mathématiques sur le chaos. Aujourd'hui, appuyée par une puissance de calcul accrue, elle permet de décrire le comportement des insectes sociaux, des bancs de poissons, l'épidémiologie, l'économie...

Comment pensent les génies ? Quel était le secret d'Einstein, Léonard de Vinci, Mozart ou Shakespeare ? Nous avons posé la question à des spécialistes, avec un secret espoir : apprendre à penser comme eux ! Les génies sont éclectiques, travailleurs, sûrs d'eux, persévérants, mais aussi un peu farfelus et dotés d'une pensée à double sens : ils produisent d'innombrables idées, souvent inutiles, puis sélectionnent les plus prometteuses. Penser comme un génie supposerait donc de multiplier les centres d'intérêt, mais aussi de cultiver sans relâche une expertise particulière.

Selon le dernier classement PISA des systèmes éducatifs des pays de l'OCDE, la France occupait en 2013 la 25e place sur 65 pays participants. Un classement en net recul, accompagné d'un triple constat : la proportion d'élèves en difficulté a augmenté, les scores en mathématiques sont en chute libre et les élèves sont de plus en plus anxieux notamment face aux problèmes de mathématiques. Nous savons tous que deux critères de sélection règnent en maîtres dans notre Ecole : l'excellence mathématique et, dans une moindre mesure, le français et l'orthographe.

La culture générale n'est pas une simple accumulation de savoirs dans de nombreux domaines. Elle favorise l'esprit critique et probablement l'intelligence.

Rechercher d'éventuelles civilisations extraterrestres dans la Galaxie, c'est une chose. Mais faut-il pour autant se manifester ? Avec l'avènement de la radioastronomie, quelques messages ont déjà été mis en direction des étoiles. Et s'ils tombaient en de mauvaises mains ? Le débat, posé depuis quelques décennies est aujourd'hui relancé.

L'homme, au sommet de la chaîne alimentaire, est le vrai super-prédateur de la planète. Mais cette situation est-elle appelée à durer ? A quoi ressemblera la planète dans 100 millions d'années ? Je vous propose un voyage dans le temps pour imaginer les espèces dominantes du futur.

Grâce à de nouvelles méthodes de coordination, l'intelligence humaine produit parfois des résultats supérieurs à ceux des programmes informatiques.