Il y a deux ans, les gens de Microsoft ont eu une idée : et si on faisait une console... Résultat ? Une boîte noir et vert, puissante et hors de prix, qui fait déjà un tabac aux Etats-Unis.

A l'opposé des jeux vidéo complexes, cette start-up parisienne a fait sa pelote sur les casse-briques et autres réussites téléchargeables.

Pour les recruter dans la vraie vie, des entreprises lancent des opérations séduction auprès des jeunes diplômés dans l'univers virtuel de Second Life. Et ce n'est pas qu'un gadget.

La réalité virtuelle gagne peu à peu l'univers des jeux en attaquant sur trois fronts : les attractions haut de gamme, telles que les voyages collectifs dans l'espace ou les fonds sous-marins, les jeux d'arcades pour adolescents, et les jeux domestiques sur consoles et micro-ordinateurs.

A la conquête d'un nouveau marché, celui de l'agressivité et de la violence, les jeux vidéo suscitent de vives réactions.

Depuis que les Pokémon ont envahi les cartables, les enseignants en sont devenus les pires ennemis.

Bien organisés, ces trentenaires parviennent à concilier leur passion des jeux vidéo avec le travail et la vie familiale.

Il ne faut plus avoir peur des jeux vidéo. Pour une trentaine de cas d'addiction, des millions de jeunes développent leurs compétences en management, ou apprennent à mieux se positionner dans l'espace, manette ou souris en main.

Les jeux sont omniprésents dans une société qui a fait de la récréation une de ses valeurs fondamentales. Pour apprendre, pour grandir, se construire, mais aussi se détruire et s'enfermer. Pour le meilleur et pour le pire.

L'image du jeune scotché à sa console de jeux vidéo au désespoir de ses parents et de ses profs a vécu. Aujourd'hui, ces jeux sont utilisés en cours et se révèlent des instruments précieux pour susciter intérêt et motivation, voire pour développer certaines compétences...