Le vieillissement n'est pas sous le strict contrôle d'un ou de quelques gènes, mais il est également soumis aux facteurs environnementaux, épigénétiques. Les mécanismes du déclin des fonctions, le rôle de la protéolyse, ainsi que la perte et le découplage des récepteurs viennent croiser l'influence du stress jusqu'au à l'issus fatale.

L'Institut national américain de la santé vient d'annoncer le lancement d'un projet intitulé Atlas génomique du cancer, visant à identifier les multiples modifications génétiques associées à l'origine de la maladie.

Depuis la reconnaissance de l'influence de l'abondante microflore des sols sur la qualité de l'environnement, les scientifiques explorent la fonctionnalité microbienne à l'aide des nouveaux outils que sont la métagénomique et protéomique.

De nouveaux variants génétiques associés à une prédisposition accrue à plusieurs maladies chroniques telles que le diabète, la polyarthrite rhumatoïde et la maladie de Crohn, ont été identifiés dans une étude de génomique de grande ampleur menée par un consortium britannique de 200 chercheurs.

[...] Les progrès de la génétique, parce qu'ils confèrent - et risquent de conférer - aux hommes un pouvoir grandissant de manipuler les espèces, y compris l'espèce humaine, suscitent plus que tous les autres progrès scientifiques et technologiques, des inquiétudes et des espoirs sans précédent.